Cette conférence, qui se tient du 13 au 14 mars, est placée sous le thème de « Quels défis pour l’audit interne en période de crises multidimensionnelles ? ».
Elle a pour objectif d’apporter des réponses aux défis multiformes auxquels l’audit interne fait face de nos jours ; sensibiliser les autorités sur la contribution de l’audit interne dans la bonne gouvernance et la création des services d’audit interne dans les structures publiques…
Selon une source officielle, lors de son intervention, le Premier ministre a rappelé les 04 axes prioritaires du gouvernement de Transition, notamment l’amélioration de la sécurité sur le territoire national, les réformes politiques et institutionnelles ainsi que la promotion de la bonne gouvernance, la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation issu du processus d’Alger et l’organisation d’élections libres et transparentes.
La lutte contre la corruption et l’enrichissement font partie des priorités du gouvernement, a déclaré Dr Choguel Kokalla Maïga, en témoigne notamment l’adoption en 2011 de la stratégie nationale de contrôle interne. « Soutenir votre conférence relève de la responsabilité du gouvernement que j’ai l’honneur de présider », a-t-il ajouté. Et de souligner : « Tous les peuples sont amis, ce sont les gouvernements qui font souvent des erreurs. Je dis souvent aux partenaires de changer de CD-ROM, l’Afrique de 2023 n’est plus l’Afrique de 1960 ».
Fin juillet 2022, le président de l’Association des contrôleurs, inspecteurs et auditeurs du Mali (Aciam), Moussa Diakité avait informé le Premier ministre Choguel Kokalla Maïga, de la tenue de ladite conférence internationale de l’Union francophone de l’audit interne (UFAI).
Dans une interview accordée à l’Essor, Moussa Diakité a confié qu’après 2006, c’est la deuxième fois que notre pays abrite cette rencontre internationale. Depuis 2018, a-t-il rappelé, le Mali avait été choisi pour abriter cette conférence qui se tient tous les deux ans. Mais en raison de la crise sanitaire due à la Covid-19, l’événement a été reporté. À noter que du 13 au 14 mars 2023, cette rencontre prévoit plus de 400 participants venant des pays de l’espace francophone.
Souleymane SIDIBE
Face à la cabale médiatique visant le Mali, marquée par des campagnes de désinformation et des rumeurs destinées à influencer l’opinion publique, le gouvernement a décidé de mobiliser l’ensemble des acteurs médiatiques..
Qu’il s’agisse du processus de la refondation de l’État et des réformes politiques et institutionnelles, de la guerre informationnelle, de la lutte contre la désinformation, la presse malienne joue pleinement son rôle depuis la mise en place de la Transition politique.
«Je voudrais ici adresser mes remerciements et mes sincères félicitations à l’ensemble de la famille des communicants du Mali. Que ce soit les journalistes de la télévision, de la radio, de la presse écrite, de la presse privée, de la presse publique, je vous remercie et vous félicite tou.
Ces organes publics ou privés sont entrés, depuis belle lurette, dans l’ère des Nouvelles technologies. Ils disposent, pour la plupart, de plateformes digitales sur lesquelles ils continuent de servir téléspectateurs et lecteurs avec des informations fiables, modernes et accessibles.
La web-télévision «Radariste» est une plateforme très suivie qui traite l’actualité nationale et internationale. Aussi, elle sensibilise contre les narratifs erronés sur notre pays.
Moyenne de taille, teint d’ébène, sourire aux lèvres, il nous accueille avec courtoisie et beaucoup d’enthousiasme ce lundi matin (8 décembre) dans son bureau sis à l’ACI 2000 en Commune IV du District de Bamako. Lui, c’est Drissa Meminta, activiste sur les réseaux sociaux..