Pour cette 2è édition, les autorités ont voulu manifester leur compassion aux confessions religieuses
Initiée par le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta, la 2è édition de Sunkalo solidarité, se poursuit. Le vendredi 21 mars 2025, le Conseiller aux affaires économiques et financières du gouvernorat, Mamadou Traoré, a partagé, dans la convivialité et la fraternité, le repas de rupture du jeûne avec la population de Korofina.
Nous sommes dans la Commune I du District de Bamako, précisément sur le terrain As Ko de Korofina. Il est 18 heures passé de quelques minutes. Sur le site de rupture du jeûne, un beau monde assiste impatiemment au prêche avant la coupure symbolique. Les participants ont eu droit à une vingtaine de minutes d’écoute de sermons sur l’importance de l’entraide et de partage dans le mois béni de Ramadan.
Parlant du vivre-ensemble, le prêcheur a surtout souligné la nécessité de la droiture pour construire le pays sur la paix et la cohésion sociale. Comme l’année dernière, les autorités administratives et coutumières ont participé à la rupture collective. Une synergie d’actions qui se déroule dans les six communes du District de Bamako. Pour cette 2è édition, les autorités ont voulu manifester leur compassion aux confessions religieuses.
Le Conseiller aux affaires économiques et financières du gouvernorat a indiqué que c’est une action salutaire qui a été initiée par les autorités. Pour Mamadou Traoré, l’objectif recherché est la cohésion sociale, la tranquillité et la paix. Le Ramadan et le Carême coïncident avec cinq jours de décalage.
Ce faisant, il a rappelé que les autorités ont initié des actions d’apaisement et de résilience en faveur de la population, notamment les communautés religieuses ainsi que des opérations gratuites. «Des aides ont été faites envers les musulmans et les chrétiens», a soutenu Mamadou Traoré. Quant à la population, elle apprécié l’initiative. Et a formulé des bénédictions pour que les autorités puissent continuer ce genre d’actions qui favoriseront la communion et le vivre-ensemble en son sein. La prière collective a succédé à la rupture du jeûne.
Souleymane SIDIBE
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.
Avec l’arrivée de nouveaux acteurs sur la scène médiatique, se livrant sans retenue à la propagande, à la désinformation et à la manipulation pour séduire le grand public, une question s’impose : l’ORTM et l’AMAP doivent-ils encore se cantonner à leur rôle traditionnel ? Surtout .
Face à la cabale médiatique visant le Mali, marquée par des campagnes de désinformation et des rumeurs destinées à influencer l’opinion publique, le gouvernement a décidé de mobiliser l’ensemble des acteurs médiatiques..
Qu’il s’agisse du processus de la refondation de l’État et des réformes politiques et institutionnelles, de la guerre informationnelle, de la lutte contre la désinformation, la presse malienne joue pleinement son rôle depuis la mise en place de la Transition politique.
«Je voudrais ici adresser mes remerciements et mes sincères félicitations à l’ensemble de la famille des communicants du Mali. Que ce soit les journalistes de la télévision, de la radio, de la presse écrite, de la presse privée, de la presse publique, je vous remercie et vous félicite tou.