Les travaux ont été présidés par le représentant du ministre du Développement rural, Adama Camara, en présence du directeur général de l’Institut d’économie rurale (IER), Dr Modibo Sylla et du coordinateur du Projet ACC, Dr Kalifa Traoré.
Les administrateurs ont adopté les rapports d’activités et financiers 2021-2022, le programme d’activités 2022-2023 et le budget pour la même durée. à ce titre, le budget prévisionnel est estimé à 530 millions de Fcfa. Dans son mot de bienvenue, le directeur général de l’IER a indiqué que la deuxième phase du Projet ACC a pour objectif de contribuer à l’amélioration de l’autosuffisance alimentaire et des conditions de vie des populations des régions centre et nord du Mali.
Il s’agit donc d’adapter l’agriculture et l’élevage au changement climatique à travers la mise à échelle des technologies générées lors de la première phase et le développement de nouvelles. Selon Dr Modibo Sylla, le projet comporte 6 composantes et un volet plateforme d’innovation. Il a rappelé que les activités de recherche menées lors de la campagne 2021-2022 par les composantes du programme et le volet plateforme d’innovation ont abouti à de nombreux résultats dans le domaine de l’adaptation de l’agriculture et de l’élevage au changement climatique.
A l’en croire, l’année a été marquée par la mise à l’échelle de technologies et la mise au point de nouvelles pour la résilience au changement climatique dans les Régions de Kayes, Koulikoro, Ségou, Mopti, Gao, Tombouctou et Kidal. Il a également remercié le gouvernement du Royaume de Norvège pour l’appui financier et technique apporté à notre pays. Pour sa part, le représentant du ministre du Développement rural a indiqué que la deuxième phase du Projet, couvrant la période de 2018-2022, a été l’occasion pour mettre à échelle les technologies développées lors de la première phase. Cette phase, selon Adama Camara, est également l’occasion pour entreprendre des formations diplômantes de niveau License, Master et Doctorat, en relation avec les objectifs du projet.
Pour son exécution, le projet a établi plusieurs accords de collaboration avec des partenaires techniques, dont notamment le Département des études internationales pour l’environnement et le développement (Noragric) de l’Université norvégienne des sciences de la vie. Et d’exhorté les membres du comité de pilotage à des échanges fructueux afin de donner une bonne orientation aux actions futures.
Le Projet ACC a été initié grâce à la volonté politique des gouvernements du Mali et de Norvège pour renforcer les capacités de résilience, d’adaptation et de transformation des communautés vulnérables et des systèmes nationaux, mais aussi la production des innovations technologiques.
Amadou GUÉGUÉRÉ
Rédaction Lessor
En marge de leur rencontre, les ministres de l’Économie et des Finances de la Confédération des États du Sahel (AES) venus à Bamako pour les travaux de l'assemblée consultative de la Banque confédérale d'investissement et de développement (Bcid-AES) ont été reçus, hier dans l’après-.
À la date du lundi 8 décembre, au Grand marché de Bamako, le sac de 100 kg de mil est vendu à 20.000 Fcfa contre 22.500 Fcfa avant. Le sac de 100 kg de riz Gamiyaka, cédé auparavant à 45.000 Fcfa, se négocie désormais autour de 40.000 Fcfa.
Le gouverneur de la Région de Kita, Daouda Maïga, a présidé en début de semaine une session de vulgarisation de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption et de son plan d’actions 2023-2027..
Ces derniers mois ont été marqués par un changement de posture des groupes armés terroristes qui ont décidé de s’attaquer aux sources d’approvisionnement du pays en produits pétroliers dans le but d’asphyxier l’économie nationale et de révolter les populations contre les autorités..
C’est un communiqué du ministère de l’économie et des Finances qui l’annonce. Selon le département, à la date d’aujourd’hui, le niveau du stock de la dette intérieure est d’environ 439 milliards Fcfa.
La deuxième partie du projet de Loi de finances pour l’exercice 2026 a été votée, hier, à l’unanimité par les membres du CNT. Le texte a été défendu par le ministre de l’économie et des Finances, Alousséni Sanou.