Photo de famille des participants après la cérémonie d’ouverture des travaux
Placée sous la présidence de la cheffe du département, Mme Oumou Sall Seck, la cérémonie d’ouverture a enregistré la présence d’acteurs clés du secteur privé et de l’emploi. Cet atelier vise à favoriser l’implication et la participation du secteur privé dans la mise en œuvre du programme PartiCIP. De façon spécifique, il s’agissait, au cours des travaux, de partager avec les participants les dispositifs de formation de type dual conçus sur les différents secteurs économiques retenus dans le cadre du PartiCIP, de recueillir leurs besoins et attentes en la matière en vue de leur opérationnalisation, de favoriser l’engagement du secteur privé dans le processus de co-conception, co-exécution, co-financement des dispositifs de formation dual sur le PartiCIP.
Il était également question d’alimenter la réflexion pour la définition de la stratégie de participation du secteur privé au financement conjoint de la formation professionnelle, d’engager les réflexions pour définir une approche stratégique et opérationnelle pour la mise en place d’un dialogue permanent entre le secteur privé et les pouvoirs publics, selon les objectifs du PartiCIP. Les participants ont aussi échangé sur le choix des secteurs économiques porteurs d’emplois, la stratégie de participation du secteur privé au financement conjoint de la formation professionnelle, le dialogue entre acteurs publics et privés de la formation professionnelle.
À l’ouverture des travaux, la ministre Oumou Sall Seck a rappelé que le Président de la Transition a inscrit au cœur de ses priorités le développement des compétences et l’employabilité des jeunes à travers l’amélioration du système éducatif. Elle a salué l’engagement et le soutien constant de la Coopération suisse, qui a permis de renforcer les initiatives de développement socio-économiques dans notre pays, même dans des contextes difficiles et a également remercié le secteur privé pour son implication croissante dans la formation professionnel et l’emploi à travers des partenariats publics privés structurés.
Le PartiCIP, selon la ministre chargé de l’Emploi, ambitionne de répondre au chômage et de fournir une main-d’œuvre qualifiée adaptée aux besoins du marché du travail. À cet effet, il vise à former et insérer durablement 4.000 jeunes de 15 à 35 ans, dont 40% de femmes, renforcer la gouvernance décentralisée du sous secteur de la formation professionnelle, intégrer le secteur privé dans un modèle tripartite de co-conception, co exécution, et co-financement des dispositifs de formation avec un focus sur l’apprentissage de type dual.
La ministre a exprimé son optimisme quant à l’impact de ce programme. «Je ne doute point que cette démarche nous permettra d’aboutir à un dispositif de formation dual capable de mettre sur le marché du travail une main-d’œuvre compétente et performante qui répond aux besoins d’exigence et de qualité recherchés par les opérateurs économiques afin d’assurer la compétitivité et la création de richesse pour le développement socio-économique durable du Mali», a déclaré Oumou Sall Seck, ajoutant que son département, engagé dans la réussite du PartiCIP, assurera un soutien continuel pour structurer et encadrer les différents programmes et veillera à la mise en œuvre des recommandations issues de cet atelier.
Notons que le programme PartiCIP a pour objectif globale de promouvoir la formation et l’insertion durable des jeunes, en dotant le sous secteur de la formation professionnelle et de l’emploi, d’une gouvernance décentralisée efficace et cohérente tout en renforçant l’apport des secteurs publics et privés.
Fatoumata Yayi DIAKITÉ
Rédaction Lessor
Le Premier ministre, le Général de division Abdoulaye Maïga, a rencontré ce jeudi 4 décembre, à la Primature, les leaders religieux du pays afin de leur annoncer la mise en place prochaine d’un comité chargé de trouver des solutions aux propos haineux visant la religion et les guides relig.
Après plus de trois années de déficit, le marché mondial du cacao semble amorcer un retournement au terme de la campagne 2024/2025. Les dernières estimations publiées par l’Organisation internationale du cacao (ICCO) confirment en effet un passage vers un léger excédent durant cette campag.
Ces feux de brousse ont dévasté près de 36 millions d’hectares, soit l’équivalent de plus d’un quart du territoire national. Dans une analyse, le spécialiste en géographie de l’environnement, Dr Adama Sissoko, dresse un état des lieux alarmant.
Le préfet du Cercle de Ségou, Daouda Diarra, a présidé, mercredi dernier dans ses locaux, la cérémonie de clôture officielle des activités du Mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion (MSLE). C’était en présence du maire de la Commune urbaine de Ségou, Nouhoun Diarra, .
Dans le Cercle de Bafoulabé, la tragédie survenue, vendredi dernier, à Galoukoné à une vingtaine de kilomètres de son chef-lieu de commune (Mahina), a pris aux tripes parce que rarement un drame d’une telle ampleur n’aura secoué les habitants de la ville. La quiétude de la ville a été .
Le processus Démobilisation, Désarmement, Réinsertion et Intégration (DDR-I) a officiellement démarré, le samedi 29 novembre 2, dans la Région de Mopti. C’est au camp de jeunesse de Soufouroulaye, en présence des autorités administratives et militaires, que ce tournant majeur pour la stab.