
Elle a
enregistré la participation du promoteur de l’École Olilor, Francis Olilo, du
président de l’Assemblée permanente des chambres de métiers (APCM), Mamadou
Minkoro Traoré, et d’autres invités.
Initié par l’École Olilor, cet événement culturel se tient
pour la toute première fois dans notre pays. Les précédentes éditions se sont déroulées
dans d’autres pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa),
notamment la Côte d’Ivoire, le Benin, le Burkina Faso, le Sénégal et le Togo.
Selon Andogoly
Guindo, cette activité participe du renforcement des aptitudes des participants
à devenir des professionnels de la beauté. Durant cette rencontre, a relevé le
ministre en charge de l’Artisanat et de la Culture, Bamako envisage de
sensibiliser les professionnels de la beauté, de la santé et de la sécurité au
travail. Mais aussi de former les coiffeuses et coiffeurs sur le respect des
normes d’hygiène et de sécurité, comme les techniques de base de chignon, des
coiffures évènementielles...
Le président de l’APCM a rappelé que cette conférence a été
possible grâce à un partenariat dynamique entre la communauté Olilor Mali et la
première École de France spécialisée dans la coiffure de tous types de cheveux,
les soins de la peau, le maquillage et l’esthétique. Mamadou Minkoro Traoré
s’est réjoui de sa tenue. «L’événement s’inscrit aussi dans le cadre de la
promotion des artisans, mais aussi des praticiens des métiers, en l’occurrence
ceux relevant de la branche d’activité portant sur l’hygiène et les soins
corporels», a-t-il dit.
Le promoteur de l’École Olilor a souligné la nécessité de la
formation dans le secteur de l’artisanat pour le rendre compétitif. «Nous
sommes dans une position de consommation, mais nous ne créons pas. Si nous
voulons créer de la richesse, c’est important que nous soyons productifs. Et la
productivité commence d’abord par la formation. Après, nous allons avoir des
entreprises compétitives», a déclaré Francis Olilo.
Selon lui, il faut impérativement
développer tout le secteur de l’artisanat. «Nous allons former toutes les élites dans tout le secteur pour que le Mali
ait son «made in Mali», a-t-il indiqué. Ajoutant que c’est moins cher et créateur
de richesse. Et de conclure : «Il faut que l’Europe vienne vers l’Afrique
d’ici 2030».
Aissata Elmoctar TRAORÉ
Rédaction Lessor
Le jeudi 26 juin 2025, le ministre des Maliens établis à l’Extérieur et de l’Intégration africaine, Mossa Ag Attaher, est arrivé à Gao pour procéder au lancement officiel des activités du Centre d’accueil, d’orientation et d’assistance pour les migrants, en compagnie de Dr Boubacar.
Dans la Cité des Balanzans, le fleuve Niger offre aux lavandières une source de revenus essentielle. Mais leur métier est marqué par des contraintes physiques et financières.
Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le vendredi 27 juin 2025, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Général d’Armée Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat..
Les principales voies suivantes de la ville de Bamako : Du monument de l’Afrique à Nyamana, du monument du 26 Mars au monument de l’Afrique, de l’avenue de l’Armée (Sotuba) à la route de Ségou, de l’avenue Moussa Traoré à Titibougou, de Sotuba (zone industrielle) à Quinzambougou, de.
La Commission femmes et sport du Comité national olympique et sportif (CNOS-Mali) a organisé, vendredi dernier, un séminaire sur le thème : «briser le plafond de verre»..
Dans l’imaginaire collectif, les Organisations non gouvernementales (ONG) internationales sont parfois perçues comme des instruments d’ingérence, des freins au développement national ou encore comme des foyers de dépravation et de corruption..