
Le Général de division Abdoulaye Maïga avait à ses côtés les ministres chargés de l’Économie, Alousséni Sanou, des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, de l’Environnement, Mme Doumbia Mariam Tangara et l’ambassadeur du Mali en Espagne, le Général Abdramane Baby.
Occasion pour ces concitoyens d’exprimer des préoccupations qui ont trait à l’accès difficile aux documents administratifs notamment les cartes Nina et biométrique, le passeport, le visa... Ils ont également demandé l’ouverture d’un consulat général, d’une ligne «direct» Espagne-Mali. D’autres problèmes se rapportent à la possibilité d’être enrôlé dans l’Assurance maladie obligatoire et de bénéficier de logements sociaux, entre autres.
En réponse, le Chef du gouvernement a assuré que les problèmes évoqués trouveront des solutions dans les 517 recommandations des Assises nationales de la refondation. Le Général de division Abdoulaye Maïga a ajouté que la création de l’Agence nationale de sécurisation des actes d’état civil permettra de résoudre définitivement ces problèmes.
Toutefois, il a souligné que la volonté du gouvernement est de créer les conditions pour permettre aux Maliens de rester au pays. Le Premier ministre leur a demandé de rester unis, solidaires et de respecter les lois du pays d’accueil.
Envoyé spécial
Cheick Moctar TRAORE
Procédant à la clôture des travaux à Séville, le Chef du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, s’est réjoui de l’adoption de «L’Engagement de Séville».
L’annonce a été faite par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop, à l’issue de son audience avec son homologue espagnol, José Manuel Albares Buen, hier à Séville en Espagne.
En matière de gouvernance publique, la disponibilité de données, d’analyses et de bonnes pratiques est essentielle pour prendre des décisions à même d’impacter positivement le quotidien des populations..
La problématique a été débattue hier par décideurs, patrons d’institutions de financement et experts… Ils conviennent tous de l’urgence de réformer l’architecture de la dette souveraine et de la suspension du service de dette en cas de crise.
Sans la sécurité et la stabilité, aucun objectif de développement ne pourrait être atteint. C’est pourquoi, les pays de la Confédération des États du Sahel (AES) consacrent le 1/4 de leur budget à cette question. C’est le message que leurs ministres des Affaires étrangères ont fait pa.
L’un des temps forts de cette première journée a été le débat général qui a vu des dizaines de Chefs d’État et de gouvernement se succéder au pupitre pour exposer leur vision du développement et de son financement. L’honneur est revenu au Premier ministre Abdoulaye Maïga de porter l.