
Le ministre d’État, ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, Porte-parole du gouvernement, le colonel Abdoulaye Maïga l’a annoncé lundi dernier à travers une décision, précisant que le Comité technique d’appui est chargé d’appuyer l’AIGE dans l’organisation du référendum et des élections générales.
Selon la même source, le Comité appuie l’AIGE dans les domaines de l’élaboration des procédures et actes visant à assurer la bonne organisation des élections et la régularité des opérations électorales ; la mobilisation des moyens humains, financiers et matériels nécessaires à la conduite du processus électoral. S’y ajoutent la supervision et le contrôle des activités des autorités administratives ; la conception et le suivi de la mise en œuvre des actions de formation destinées aux autorités administratives et aux agents électoraux. Ainsi que la sensibilisation et la mobilisation des citoyens à l’occasion des différents scrutins l’acheminement du matériel et des documents électoraux ; la conception, la programmation et le suivi des actions de formation ; l’élaboration et la mise en œuvre d’un plan de communication.
Le Comité technique d’appui présidé par le ministre d’État, ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, Porte- parole du gouvernement. Il est composé de 21 membres.
Son rôle est de superviser les activités des autorités régionales et locales et des acteurs choisis au sein des services du ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, à raison de deux superviseurs par Région et dans le District de Bamako et deux superviseurs par Commune du District de Bamako.
Selon le même document, le directeur de la Division électorale de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma) ou son représentant ; les partenaires techniques et financiers (PTF) du processus électoral ; le représentant de la Mission de l’Union africaine pour le Mali et le Sahel (Misahel) ; l’envoyé spécial de la CEDEAO auprès de la République du Mali peuvent assister aux séances du Comité technique d’appui, en leurs qualités d’observateurs.
« Les observateurs peuvent émettre des avis, observations ou remarques éventuels concernant leur domaine de compétence avant toute prise de décision par le Comité technique d’appui », indique le texte, soulignant que le Comité comprend les commissions de travail, administration et formation ; des finances ; logistique ; communication de la Commission ; sécurité.
Le Comité technique d’appui se réunit une fois par semaine sur convocation de son président. Il peut tenir des réunions extraordinaires en cas de besoin.
Souleymane SIDIBE
Les enseignants des écoles publiques du District de Bamako reprennent le travail dès ce lundi 20 octobre 2025 aux heures habituelles des cours..
En marge de la 3è édition des journées Ouest-africaines de l'audit interne, tenues à Bamako les 16 et 17 octobre, le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta a reçu, ce vendredi 17 octobre, une délégation de l’Association des contrôleurs, inspecteurs et auditeurs .
Certains rapports occidentaux tentent désespérément de faire croire que le Mali serait une « république en ruine », une «transition sans cap», un pays «sous tutelle russe» condamné à l’isolement. Ce récit, souvent répété, ignore la logique interne d’un processus souverain qui.
Lancé depuis le mois de septembre, par la Direction nationale de la pédagogie (DNP) avec l’appui technique et financier du Projet d’amélioration de la qualité et des résultats de l’éducation pour tous au Mali (Miqra), l’atelier d’élaboration et de validation des livrets pédagogique.
Dans le cadre des activités de la 30è édition du Mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion, le gouverneur de la Région de Mopti, le Général de brigade Daouda Dembélé a respecté la tradition en rendant visite, mercredi 15 octobre, aux deux personnes les plus âgées de la Co.
Suite à la recrudescence de l’insécurité dans la Région de Gao, des mesures strictes ont été prises concernant les activités illicites sur le site minier de N’tahaka, situé à une cinquantaine de kilomètres de la Commune urbaine de Gao..