L’Usine a produit, en février et 30 juin dernier, 16 millions de comprimés
L’ouverture des travaux de cette séance, consacrée essentiellement à l’examen et à l’approbation des documents soumis à l’appréciation des administrateurs, a été présidée par le président du conseil d’administration, Pr Alou Amadou Keïta. C’était en présence du directeur général de l’Usine, Abdoul Aziz Bah.
Au cours de cette session, les administrateurs se sont penchés sur le procès-verbal du 5 juin 2023, la fixation de la rémunération du directeur général de l’UMPP-SA, l’examen de la proposition du directeur général pour le poste de directeur général adjoint. Ils ont également examiné le rapport d’activités sur la période du 15 août 2023 au 1er juin 2024, mais aussi fait le point sur la mise en œuvre du plan de relance de l’UMPP. Ainsi que l’état d’exécution du budget jusqu’au 1er juin 2024 et prévision pour le reste de l’année.
D’entrée de jeu, le directeur général de l’UMPP-SA a précisé que par souci de bonne gouvernance et de suivi des activités de la relance, cette session permettra de présenter un bilan des activités de l’Usine pour se projeter sur les perspectives du second semestre 2024. Abdoul Aziz Bah a souligné que la relance de l’UMPP-SA est la volonté affichée des autorités du pays pour qu’elle puisse participer à la mise en œuvre de la politique de santé. Cela en améliorant l’offre des médicaments essentiels et en réduisant le coût des soins de santé. Selon lui, c’est grâce à leur implication personnelle que la société UMPP est passée à l’UMPP-SA dont l’État est le seul actionnaire. «La production a pu commencer en février 2024 et de cette date à juin 2024, plus de 16 millions de comprimés et 139.270 flacons de sirop ont été produits réalisant au total un chiffre d’affaires de plus de 140, 5 millions de Fcfa.
Il a ajouté qu’au fil du temps sa société a pu acquérir l’expérience, l’expertise, le savoir et le professionnalisme à l’égard de sa clientèle et a toujours le souci d’améliorer les services offerts à ses clients. Le directeur général de l’UMPP-SA a déclaré que de nouvelles acquisitions d’équipements permettront d’augmenter la capacité de production et également élargir la gamme de médicaments produits.
Pour le président du conseil d’administration, toutes les questions de relance n’ont pas été mises en place parce qu’il y avait le fonds de roulement, mais il restait le fonds d’investissement avec lesquels l’unité industrielle devait acheter les équipements.
Pr Alou Amadou Keïta a signalé que sans équipements nécessaires, il n’y a pas de relance. « Actuellement les quantités qu’on produit sont faibles et ne peuvent même pas couvrir le 10è de la population donc il faut des équipements pour produire», a-t-il fait savoir. Il a salué la les autorités de la Transition et le ministère de l’Industrie et du Commerce pour leur soutien face à la situation de misère que l’Usine vivait depuis plus de 10 ans. «Nous voulons arriver au stade d’une nouvelle usine, mais il faut définir les conditions en matière de marché, d’équipements et de produits pour pouvoir le réaliser», a noté le président du conseil d’administration.
Fatoumata Mory SIDIBE
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