
Cette séance était essentiellement consacrée à l’examen et à l’adoption du projet de budget 2024
La conduite optimale
des projets en cours que sont la mise en œuvre des textes de la redevance radio
et télé, et la poursuite du processus d’apurement des arriérés dus à l’ORTM par
ses prestataires. Ce qui permettra d’apporter des réponses à ce défi du renforcement
des ressources.
C’est ce qu’on retient essentiellement de la 53è
session ordinaire du conseil d’administration de l’ORTM qui s’est tenue hier
dans les locaux du ministère de la Communication, de l’Économie numérique et de
la Modernisation de l'administration. Les travaux étaient dirigés par le
secrétaire général de ce département, Alkaïdi Amar Touré, président du conseil
d’administration. Il avait à ses côtés le directeur général de l’ORTM,
Alhassane Baba Diombélé et les membres du conseil d’administration.
Cette séance était essentiellement consacrée à l’examen et à l’adoption du projet de budget 2024, du projet du rapport d’exécution du budget au 31 décembre 2023, du projet de programme d’activités 2024 ainsi que les projets de grilles Radio et télévision 2024.
Au plan financier, le budget prévisionnel de
l’ORTM s’élève à 12, 805 milliards de Fcfa dont 38% environ de ressources
propres estimées à 4,865 milliards de Fcfa et 62% de subvention de l’État, soit
6,940 milliards de Fcfa dont un milliard du Budget spécial d’investissement
(BSI).
Le secrétaire général du ministère en charge de
la Communication a expliqué que ce projet de budget connaît donc une
augmentation de 10,85% environ par rapport à 2023, dont la dotation rectifiée
se chiffre à 11,551 milliards de Fcfa. Selon Alkaïdi Amar Touré, au 31 octobre
2023, l’ORTM n’a pas atteint ses prévisions budgétaires avec un taux de
réalisation de 74,79% pour un montant de 8,639 milliards de Fcfa, en nette
progression par rapport à 2022 et 2021. Pour lui, les ressources propres de
l’ORTM sont en légère diminution.
«Pour la cinquième année consécutive, les
recettes au titre de la redevance ont été prévues. Il y a lieu de faire
observer que toutes ces ressources n’ont pu être recouvrées lors de l’exercice
écoulé, en raison des difficultés rencontrées dans la mise en œuvre des textes
régissant la redevance», a fait remarquer le secrétaire général.
Concernant le projet de grilles des programmes pour l’exercice 2024, Alkaïdi Amar Touré a précisé que plus d’espace devraient être laissés pour l’organisation de débats contradictoires sur les grandes questions de la nation. La valorisation des langues nationales et la sensibilisation et l’éducation citoyenne des populations doivent aussi occuper une place de choix dans les programmes. Tout comme l’explication de l’action gouvernementale à nos concitoyens.
Souleymane SIDIBE
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