Photo de famille des participants après la rencontre
Il en a appellé à une franche collaboration de nos compatriotes
sans laquelle, il serait difficile d’atteindre les résultats escomptés par les
Forces de défense et de sécurité (FDS) dans ce combat. C’était à l’occasion de
la 1ère session ordinaire du Comité local d’orientation, de coordination et de
suivi des actions de développement (Clocsad), tenue dans la salle de
délibérations de la mairie de Banamba, sous la présidence du 1er adjoint au
préfet, Oumar Touré.
C’était en présence du sous-préfet central,
Aya Samba Bocoum, et du 3è adjoint au maire de Banamba, Bagnamé Simpara.
Étaient aussi à cette rencontre des collectivités territoriales décentralisées,
les représentants des services techniques déconcentrés, de la chefferie, mais
aussi des organisations de la société civile et des médias.
L’objectif
de la session était de passer en revue les activités menées au cours des quatre
premiers mois de cette année. Les travaux étaient axés sur, entre autres, la
communication sur le Dialogue inter-Maliens, notamment les phases communale et
régionale, l’organisation réussie du mariage collectif par la mairie de
Banamba, l’approbation des délibérations des comptes administratifs des
différentes communes du Cercle de Banamba et sur des questions sécuritaires.
Au cours de la session ordinaire, le
commandant sous Gtia de Banamba a exprimé son regret de constater des
insuffisances dans la collaboration de la population avec les Forces armées
dans la lutte contre les terroristes. Face à ce constat amer, l’officier a
demandé aux forces vives du Cercle de Banamba de beaucoup s’impliquer afin de
briser le mur de la méfiance entre les deux parties. Mais surtout de prendre
conscience de la nécessité d’instaurer cette bonne collaboration qui permettra
aux FDS de dénicher les terroristes et de les mettre hors d’état de nuire.
Mais, selon lui, cela ne pourra se faire qu’avec des renseignements précis et
fiables sur les forces du mal.
Dans
le rapport d’activités des collectivités territoriales décentralisées, il est
indiqué que les écoles restent à présent fermées dans certaines localités de
Banamba, Kiban, Sébété, Duguwolonwila, Toubacoro et Toukoroba pour des raisons
d’insécurité. Le même document fait ressortir que toutes les communes du cercle
sont à jour dans le paiement des salaires de leurs personnels, exceptée celle
de Toukoroba, qui accuse un retard de paiement de 7 mois.
L’incivisme
et l’insécurité font qu’aujourd’hui les taux de recouvrement des impôts et
taxes des différentes communes sont faibles, d’après certains secrétaires
généraux des collectivités. Les
services techniques déconcentrés ont été les derniers à faire l’état des lieux
des activités qu’ils ont eu à mener au cours des quatre premiers mois de
l’année en cours. L’intervention de l’adjoint au préfet, Oumar Touré, a mis fin
à la cérémonie.
Abdoulaye TRAORÉ
Amap-Banamba
Rédaction Lessor
Le Projet national du Programme africain de mini-réseaux permettra la mise en service directe d’au moins 309 kilowatts de puissance solaire photovoltaïque installée et 754 kilowattheures de capacité de stockage sur batteries. Il bénéficiera directement à plus de 8.000 personnes, dont 50% de.
La ministre des Transports et des Infrastructures, Mme Dembélé Madina Sissoko, accompagnée de sa collègue de la Santé et du développement social, le Colonel-major Assa Badiallo Touré, était hier à l’hôpital Gabriel Touré pour remettre un important lot de kits de premier secours et de m.
Pour 2026, il est attendu une croissance de 5,5% en rapport avec une reprise de la production aurifère et une amélioration progressive des conditions de sécurité. L’inflation, elle, devrait fléchir à 2,5%, largement conforme à la norme communautaire de 3%.
La 13è session du comité de pilotage du Fonds d’appui à l’automatisation de la femme et à l’épanouissement de l’enfant (Fafe) s’est tenu, hier à son siège..
Faisant partie de l’une des couches les plus vulnérables du pays, ces dames ont initié, entre elles, des activités d’échanges sur la santé de la reproduction pour favoriser un changement de comportement dans leur communauté.
En marge de la session de formation tenue du 24 au 25 novembre dernier, sur le «Journalisme de solutions», un module portant sur la désinformation et le fact-checking a été présenté. Face à des apprenants assidus et curieux, le journaliste Moussa Diarra est longuement revenu sur ces nouveaux.