
Commandant de l’Armée de terre, il organise notamment l’envoi de troupes au Yémen dans le cadre de la guerre civile yéménite et joue le rôle d’officier de liaison avec les Saoudiens et les Émiratis. En février 2019, lors des manifestations contre le régime du Président Omar el-Bechir, il est nommé inspecteur général de l’Armée.
Le 12
avril 2019, Abdel Fattah al-Burhan succède à Ahmed Awad Ibn Auf à la tête du
Conseil militaire de Transition mis en place après le renversement du Président
Omar el-Bechir.
Le 20 août 2019, un mois après un accord entre civils et
militaires ayant mis fin à la dictature d’Omar el-Bechir, un Conseil souverain
de onze membres dirigé par le Président Burhan a été mis en place.
Marié, le Président Abdel Fattah al-Burhan est père de trois enfants.
Madiba KEÏTA
Depuis son investiture comme président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta n’a cessé d’édicter des mesures en vue de dynamiser les secteurs productifs stratégiques pour assurer la sécurité et l’indépendance économiques du Mali..
Dans un communiqué rendu publié hier, le président de la Maison de la presse du Mali, Bandiougou Danté, informe l’opinion nationale et internationale que dans la journée du 4 mai dernier, le siège de sa structure sis à Médina coura en Commune II du District de Bamako a été envahi par des.
Par décret N°2025-0268 du 25 avril 2025, le président de la Transition a institué une opération dénommée «Dougoukoloko» visant à rétablir l’État du Mali dans ses fonctions régaliennes sur toute l’étendue du territoire national, en s’appuyant sur l’action des Forces armées et .
Ce financement est destiné à faire face à la situation d’urgence : chocs climatiques, insécurité alimentaire, déplacements liés aux conflits armés.
La relecture de la Charte des partis politiques ravise aujourd’hui les débats politiques dans notre pays. Le Mali compte actuellement près de 300 partis politiques et lors des Assises nationales de la refondation (ANR) tenues en décembre 2022, la réduction de leur nombre fait partie des recom.
Faut-il dissoudre les partis politiques ? C’est par cette question que Me Cheick Oumar Konaré, avocat au barreau malien et ancien journaliste, verse son analyse sur le débat concernant la réduction du nombre des partis politiques dans le cadre de la relecture de la Charte des partis politiques .