Les kits sont composés de riz, de sucre, de lait, de pâtes alimentaires, de thé et de dattes
La cérémonie s’est tenue dans la cour de la mairie en présence du gouverneur de la région, le colonel Lamine Kapory Sanogo. Il y avait aussi le directeur régional du développement social, Mohamed Koureichi, le président du conseil régional, Abdoulaye Diakité, les représentants des légitimités traditionnelles, des confessions religieuses et de la société civile.
La distribution de ces kits alimentaires (riz, sucre, lait, pâtes alimentaires, thé et dattes) est intervenue dans le cadre du ramadan et du carême. «Le geste du Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta, consiste à apporter un soutien alimentaire aux populations musulmanes et chrétiennes. C’est pour aussi apporter la solidarité et le patriotisme du Chef de l’État envers les Maliens en général», a expliqué Aguibou Dembélé.
Il a aussi rappelé que l’opération a déjà concerné plus de 4.000 personnes vulnérables à travers le pays. Le conseiller spécial du Chef de l’État a appelé ses compatriotes à la solidarité à tous les niveaux et à continuer à faire beaucoup de bénédictions pour le pays.
Le maire de la Commune urbaine de Koulikoro, Aliou Moussa Tamboura et le porte-parole des bénéficiaires, l’imam Barré Konta, ont fait remarquer que ces dons du Général d’armée Assimi Goïta viennent s’ajouter à l’effort du gouverneur de région, le colonel Lamine Kapory Sanogo envers les personnes vulnérables de la 2è région administrative du Mali.
Ils ont également rappelé plusieurs actions du Président de la Transition dans la région parmi lesquelles la remise des ambulances aux centres de santé, l’installation des forages, la rénovation du stade Mamadou Diarra H, la construction en cours du stade Arena et du vestibule des légitimités traditionnelles.
Amadou Libo DIARRA / AMAP - Koulikoro
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
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Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
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