Le Programme a implementé des outils de gestion budgétaire, comptable et de digitalisation dans 25 communes
Le Padre III s’articule autour de cinq axes; à savoir la gestion financière transparente et conforme aux règles, l’amélioration du dialogue sur la résilience socio-économique entre les autorités communales/régionales et les organisations de la société civile, la promotion du développement économique régional. À celles-ci, s’ajoutent l’apprentissage en réseau dans un système à plusieurs niveaux et l’amélioration de service des collectivités territoriales pour l’accueil des personnes déplacées internes et la population hôte dans la Région de Gao.
Le Padre III a à son actif l’implémentation des outils de gestion budgétaire et comptable et de digitalisation dans 25 communes de sa zone d’intervention, le suivi et la capitalisation du processus d’opérationnalisation des 24 projets des femmes et jeunes et la réalisation de 15 activités au profit de 329 bénéficiaires dans le cadre du dialogue Conseil régional et secteur privé des Régions de Koulikoro, Ségou et Gao. Aussi, faut-il noter le renforcement des moyens de production de 1.398 exploitants agricoles dont 913 personnes déplacées internes dans la Région de Gao
Le représentant du ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation a affirmé que ce projet s’inscrit dans la continuité des actions et initiatives programmées dans le cadre du plan d’action du gouvernement de Transition pour renforcer davantage le leadership des collectivités dans la fourniture des services sociaux de base aux populations. Abdoulaye Mahamane est persuadé que cette fourniture est tributaire de la mobilisation des ressources propres et de la concomitance des transferts des compétences et des ressources de l’État aux collectivités territoriales.
Selon lui, pour relever ces défis, les collectivités territoriales doivent impliquer davantage les populations dans la conception, la programmation, la mise en œuvre et le suivi-évaluation des actions de développement économique, social et culturel. Le conseiller technique a insisté sur la recherche de l’efficacité et de l’efficience dans la planification et l’exécution des activités des projets et programmes dans un contexte de rareté des ressources financières. Cela, a-t-il ajouté, pour conforter les choix et les orientations des autorités maliennes.
Pour sa part, le représentant de l’ambassade de la République fédérale d’Allemagne a salué le gouvernement pour les efforts de coordination, de suivi et d’orientation stratégique du projet. Oumar Mikota Konaré a relevé que les priorités sont, entre autres, le développement territorial équilibré des régions et des pools urbains, l’amélioration des services rendus par les collectivités.
D’après lui, il y a également le renforcement de l’accompagnement de l’État et la gouvernance inclusive du territoire ainsi que l’amélioration du financement de la décentralisation. Oumar Mikota Konaré a annoncé que l’Allemagne, en commun accord avec le Mali, décide de prolonger le projet jusqu’en fin décembre 2025 pour davantage renforcer les acquis.
Namory KOUYATE
L’Essor a marqué l’actualité médiatique de la semaine dernière en réalisant un triplé inédit de distinctions pour le même article de notre collègue de la rédaction, Aminata Djibo, intitulé : «Fistule obstétricale : quand donner la vie vire au cauchemar». Cette performance témoigne.
La 15è session ordinaire du Conseil d’administration de l’Université Kurukanfuga de Bamako (UKB) s’est tenue, hier dans la salle de conférences de l’établissement. Présidée par la présidente du conseil d’université, Mme Diarra Fatoumata Dembélé, la réunion s’est déroulée en .
L’Institut Simon finance et management international (ISFMI) a organisé, jeudi dernier dans un hôtel de la place, une cérémonie de remise de diplômes aux 211 étudiants en Licence et Master de la promotion baptisée Harouna Niang, économiste et ancien ministre de l’Industrie, du Commerce e.
Le directeur général de l’Onef, Boubacar Diallo et la représentante de la ministre chargée de l’Emploi, Mme Dicko Fatoumata Abdourhamane.
L’Agence nationale d’évaluation et d’accréditation des établissements de santé (Anaes) a développé un plan d’actions contre les risques de corruption au sein d’un établissement de santé. L’étude sur le développement de ce plan et sur l’évaluation et la cartographie des risqu.
Pour le nouveau directeur général, la priorité reste la satisfaction des clients, leur offrir des réseaux toujours plus performants et accessibles partout sur le territoire national.
