
Ces deux
personnalités étaient porteuses de messages de soutien à la coopération
bilatérale de leurs chefs d’État au président Goïta. Actualité oblige, la
question relative au retrait du Mali du G5 Sahel n’a pas échappé aux échanges
entre le président de la Transition et ses hôtes. Premier à être reçu, le ministre tchadien de la Communication a, au terme de la
rencontre, évoqué les liens étroits qui unissent le peuple malien et celui de
son pays.
Abderaman Koulamallah a souhaité que les relations bilatérales qui existent
entre le Tchad et le Mali soient encore plus renforcées. Il a, par ailleurs,
affirmé avoir compris le départ de notre pays du G5 Sahel. Cependant,
nuancera-t-il, «nous aurions aimé qu’il y ait une autre solution».
«Toutefois,
le Mali est libre et souverain et prend souverainement ses décisions que nous
respectons», a indiqué le ministre tchadien de la Communication. D’après
Abderaman Koulamallah, le G5 Sahel continuera sa mission, ajoutant que notre
pays reste, quand même, un élément clé de l’organisation communautaire. «Nous
ne perdons pas espoir à ce que le Mali puisse retrouver, un jour, tous ses
droits au sein du G5 Sahel», a-t-il exprimé. Notant que
le président Goïta a affirmé sa disponibilité à continuer les relations
bilatérales avec son pays.
Quant au
ministre mauritanien des Affaires étrangères, de la Coopération et des
Mauritaniens à l’extérieur, il a rappelé que le G5 Sahel a été mis en place
pour permettre à «nos pays de conjuguer leurs efforts pour faire face aux défis
convergents et cumulatifs, notamment au plan sécuritaire, qui font peser de
graves menaces sur nos différentes populations». Pour Dr Mohamed Salem Merzoug,
c’est par la mutualisation et l’intégration que nos pays peuvent relever
l’ensemble de ces défis.
Le chef de la diplomatie mauritanienne a indiqué que le G5 Sahel est une jeune organisation, qui a fait du chemin, mais qui reste «perfectible». «Donc, nous devons faire en sorte que dans le respect de la souveraineté de nos états qu’il puisse fonctionner le mieux possible», a invité Mohamed Salem Merzoug, avant de magnifier les relations bilatérales qui existent entre son pays et le nôtre.
Bembablin DOUMBIA
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