
Il n’y a pas eu une cérémonie officielle de rétrocession du camp aux Forces armées
maliennes (FAMa). Une situation que certains observateurs considèrent comme un
abandon.
C’est aussi le sentiment de nos autorités
militaires. Hier dans un communiqué, l’Armée indique avoir appris le retrait de
la Minusma du camp d’Aguelhok, le 23 octobre 2023.
«Nous constatons cependant
avec beaucoup de regret que ce retrait n’a point fait l’objet de rétrocession
aux FAMa, comme stipulé dans le calendrier d’occupation des emprises de la
Minusma par les FAMa», déplore l’Armée, ajoutant que cette situation de départ
précipité des Casques bleus met en péril le processus entamé et menace la sécurité
et la stabilité dans la localité d’Aguelhok.
Pour l’Armée, les terroristes ont profité de ce désordre pour s’introduire hier dans ce camp et détruire plusieurs installations. Ils ont été neutralisés par les vecteurs aériens des FAMa.
Dans la Région de Kidal, nos vaillants
milliaires occupent déjà les camps d’Anéfis et de Tessalit.
La prochaine étape
sera certainement pour le camp de la
Minusma se trouvant dans la ville de Kidal. Le processus du retrait des Casques
bleus du Mali sera bouclé le 31 décembre prochain.
Madiba KEÏTA
Dans un communiqué rendu publié hier, le président de la Maison de la presse du Mali, Bandiougou Danté, informe l’opinion nationale et internationale que dans la journée du 4 mai dernier, le siège de sa structure sis à Médina coura en Commune II du District de Bamako a été envahi par des.
Par décret N°2025-0268 du 25 avril 2025, le président de la Transition a institué une opération dénommée «Dougoukoloko» visant à rétablir l’État du Mali dans ses fonctions régaliennes sur toute l’étendue du territoire national, en s’appuyant sur l’action des Forces armées et .
Ce financement est destiné à faire face à la situation d’urgence : chocs climatiques, insécurité alimentaire, déplacements liés aux conflits armés.
La relecture de la Charte des partis politiques ravise aujourd’hui les débats politiques dans notre pays. Le Mali compte actuellement près de 300 partis politiques et lors des Assises nationales de la refondation (ANR) tenues en décembre 2022, la réduction de leur nombre fait partie des recom.
Faut-il dissoudre les partis politiques ? C’est par cette question que Me Cheick Oumar Konaré, avocat au barreau malien et ancien journaliste, verse son analyse sur le débat concernant la réduction du nombre des partis politiques dans le cadre de la relecture de la Charte des partis politiques .
Le Président de la Transition et Président de la Confédération des États du Sahel (AES), le Général d’armée Assimi Goïta, a, dans un communiqué rendu public hier, annoncé que le Collège des Chefs d’État de la Confédération AES regrette la destruction d’un drone des Formes armé.