
La conférence de presse d’hier marque le lancement officiel du tournoi
Au total, 2.027 athlètes issus de vingt pays, notamment la Tunisie, la Côte d’Ivoire, Madagascar, la Gambie, la Somalie, le Sénégal, le Niger, le Tchad, le Congo, la RD Congo, le Burkina Faso, la Guinée, le Cameroun, l’Angola, l’Afrique du Sud, le Togo, la Sierra Léone et, bien entendu le Mali qui sera représenté par 75 lycées. Les participants vont s’affronter dans plusieurs disciplines, dont le football, le basket-ball, le handball, le volleyball, l’athlétisme et la natation.
L’annonce a été faite, hier lors d’une conférence co-animée par le responsable administratif de la Fondation Maarif, Alpha Cissé et l’avocate de la fondation, Me Rabia Soylu. La rencontre s’est déroulée dans la salle de conférence du stade du 26 Mars. Dans son exposé liminaire, l’avocate Maître Rabia Soylu a indiqué que la Fondation Maarif de Türkiye est une institution éducative qui a été créée en 2016 et elle est la seule institution habilitée à ouvrir des établissements scolaires dans les pays étrangers au nom de la République de Türkiye.
«Elle vise principalement à promouvoir la culture, la langue et les valeurs turques à travers l’éducation. Elle assure également les renforcements des relations éducatives et culturelles entre la Türkiye et les pays étrangers et offre des bourses aux étudiants étrangers pour étudier en Türkiye», a détaillé l’avocate de la Fondation.
Quant au responsable administratif de la Fondation Maarif de Türkiye, Alpha Cissé, il a rappelé que la première édition du tournoi a regroupé 1.500 athlètes issus de 9 pays. «Cette année, ce sera toute autre chose parce que nous attendons une vingtaine de pays. C’est pour cela que nous avons baptisé la compétition, Tournoi sportif panafricain. Il y aura 2.027 athlètes et les activités vont commencer le vendredi et se poursuivront jusqu’au dimanche», a expliqué le responsable administratif de la fondation.
Alpha Cissé a ajouté que pour la Fondation Maarif, l’éducation n’est pas seulement d’aller à l’école. «Nous voulons aussi une éducation dans la santé dans l’existence d’une jeunesse unie et décomplexée pour pouvoir être en adéquation avec le défi actuel et futur du Mali et aussi du monde entier». Il ainsi invité la jeunesse à prendre part à l’activité, assurant que tous les moyens seront mis en place pour que la fête soit belle. La boucle des activités sera bouclée avec un grand concert gratuit qui aura pour cadre le stade du 26 Mars.
Boubacar THIERO
Les Aigles ratent l’opération six points. Après avoir étrillé les Comores (3-0), jeudi dernier, le capitaine Yves Bissouma et ses partenaires ambitionnaient d’enchaîner hier face à la Centrafrique, mais c’est raté..
Dans cette interview, le nouvel attaquant des Aigles, qui évolue à Levski Sofia, en première division bulgare, explique les raisons qui l'ont poussé à choisir le Mali, revient sur son intégration au sein des Aigles et se projette sur les échéances qui attendent la sélection nationale, notam.
Les choses se compliquent pour le Mali. C’est le moins que l’on puisse dire après son match nul 0-0, aujourd’hui contre la Centrafrique, au compte de la 6è journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.
Gonflée à bloc après la démonstration contre les Comores (3-0), la sélection nationale a rendez-vous cet après-midi avec les Fauves du Bas Oubangui dans un match qui sera placé sous le double signe de la revanche et de la confirmation pour les nôtres.
La sélection nationale a réalisé hier soir son match le plus abouti depuis le début des éliminatoires, en battant les Comores sur le score sans appel de 3-0. Nene Dorgelès, Kamory Doumbia (doublé) et le capitaine Yves Bissouma (deux passes décisives) ont été les grands bonhommes de la renc.
Pour le sélectionneur national Tom Saintfiet, comme pour le capitaine Yves Bissouma, il n'y a qu'un seul mot d'ordre pour la rencontre de ce soir face aux Coelacanthes comoriens : la victoire, rien que ça.