
Cette élection partielle concerne les
1er et 2è secrétaires du bureau et les présidents des cinq commissions (développement
rural ; économique et financière ; éducation, culture et
communication ; affaires sociales et santé et science technique et
environnement).
Cette session s’ouvre dans un contexte marqué par une
situation sécuritaire complexe avec des attaques terroristes sporadiques à
l’intérieur du pays, a introduit le président de l’Institution.
Selon Yacouba
Katilé, aujourd’hui, il urge d’explorer toutes les pistes, en plus de l’option
militaire y compris celle du dialogue. La dernière en date remonte au 22
juillet dernier, perpétrée dans la garnison de Kati, plus précisément contre
une installation de la Direction du matériel, des hydrocarbures et des
transports des armées.
«Le CESC condamne avec la dernière énergie lesdites
attaques et réaffirme son soutien constant et entier à nos Forces de défense et
de sécurité », a déclaré le premier responsable du Conseil. À cet effet, a
indiqué le président de la 8è Institution de la République, l’heure est au
rassemblement de toutes les filles et de tous les fils du pays comme un seul
homme, derrière le président de la Transition, chef suprême des Armées, le
colonel Assimi Goïta.
La 6è mandature boucle sa première année d’exercice.
Occasion pour Yacouba Katilé de rappeler que malgré la situation de crise
multidimensionnelle que traverse le Mali, le bureau du CESC est parvenu à
atteindre des résultats probants. De la date d’investiture de la 6è mandature à
nos jours, grâce à l’accompagnement des plus hautes autorités, le bureau a pu
tenir à date échue, toutes les activités statuaires.
En une année, nonobstant les contraintes sécuritaire et budgétaire,
le Conseil a réalisé deux missions d’élaboration du recueil des attentes des
besoins et des problèmes de la société civile sur l’ensemble du territoire
national, à travers les régions administratives et auprès de nos compatriotes établis
à l’extérieur, l’une de ses principales missions constitutionnelles.
Et aussi,
deux ateliers de renforcement de capacité ont été organisés respectivement sur
le budget programme et sur les techniques de formulation des avis. « Sur
le plan de la coopération internationale, le CESC est aujourd’hui membre de
toutes les instances décisionnelles des faîtières auxquelles l’Institution
appartient. Ce, tant sur le plan sous régional, régional qu’international »,
a révélé Yacouba Katilé.
Il faut rappeler que conformément à la Constitution et aux textes de l’Institution, chaque année il y a un renouvellement partiel du bureau qui est composé de neuf membres. Le président et le vice-président sont élus pour un mandat de cinq ans. Quant aux autres membres du bureau, ils sont élus annuellement.
Mariétou KOITE
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