
Échange entre le ministre Alhamdou Ag Ilyène et la cheffe du bureau régional de l’Amap, Mme Aminata Dindi Sissoko
À l’ORTM, le ministre chargé de la Communication a été accueilli par la directrice régionale de la station, Mme Ramata Konaté, et les agents. L’hôte de marque a ensuite visité les lieux, notamment la cabine de production et la station télé. Il s’est aussi entretenu avec le personnel pour s’enquérir de ses conditions de travail et de ses difficultés. Celles-ci ont trait à l’insuffisance d’équipements, de personnel et au manque de productions au niveau de la radio rurale. Ramata Konaté a attiré l’attention du visiteur sur un tas ordure qui occupe une partie de sa cour et qui peine à être enlevé.
Cap sur l’Amap où, le ministre Alhamdou Ag Ilyène a pu échanger avec la chef du bureau régionale, Mme Aminata Dindi Sissoko, et ses collègues.
L’Agence nationale d’information du Mali (Anim), qui est devenue Amap en 1991, a été créée en tant que service public central par la loi 79-5/AN-RM du 29 novembre 1979. Les modifications survenues dans le paysage médiatique malien après le 26 mars 1991, l’activité déployée par la presse privée et une nouvelle approche du rôle des médias publics on incité le gouvernement à un changement de statut juridique pour l’Amap.
Celle-ci est devenue depuis le 24 décembre 1992 un établissement public à caractère administratif (EPA). La loi 92-036/AN-RM, qui lui confère cette nouvelle qualité, lui attribue les missions principales à savoir : assurer la publication des titres de la presse publique en français, dans les langues nationales, la diffusion de toutes les informations susceptibles d’intéresser les citoyens maliens, publier tout ouvrage concourant à une meilleure information des citoyens maliens, rechercher, diffuser et distribuer contre paiement dans le pays vers l’extérieur des informations nationales. Mais aussi collecter, réaliser ou faciliter la réalisation des objets ou œuvres publicitaires, entra autres.
S’il est vrai que l’Amap a toujours été présente dans toutes les régions depuis les premières heures de sa création à travers ses correspondants locaux, le bâtiment qui abrite le bureau de Ségou a commencé à être occupé en 2016. Il est chargé de développer et entretenir des partenariats avec des entreprises locales, des ONG ou d'autres médias pour améliorer la visibilité et l’influence de l’agence. «Les missions du bureau de Ségou englobent à la fois des tâches de gestion, de coordination et de stratégie. Nous sommes responsables de la couverture des événements locaux importants et de la gestion de la logistique nécessaire pour assurer un traitement rapide et de qualité. Nous gérons également la publicité pour le compte de l’Etat et des partenaires à travers nos panneaux publicitaires et le quotidien national l’Essor, notre produit phare», a expliqué la cheffe du bureau régional.
Elle a aussi évoqué certaines difficultés liées à l’insuffisance d’équipements, de ressources financières pour l’entretien du bureau et des matériels de travail, la réticence de certaines structures publiques à s’abonner au Quotidien national et le retrait de certains partenaires. Le ministre chargé de la Communication a ensuite visité les deux principaux bureaux de l’Amap Ségou et fait le tour du bâtiment. Au terme de sa visite, il a félicité le bureau de l’Amap et la station régionale de l’ORTM pour le travail abattu, malgré les conditions très difficiles. Alhamdou Ag Ilyène a apprécié la présence de deux dames à la tête de ces deux structures et s’est réjoui de savoir qu’elles «sont en train d’engranger de bons résultats».
Si le ministre était déjà imprégné de certaines difficultés, il a rassuré que son département et les directions générales des deux structures sont en train de travailler à les aplanir. «Certaines peuvent être résolues dans les plus brefs délais, mais il y a beaucoup de difficultés qui sont communes et aux stations mères et à l’intérieur également. Nous allons discuter avec les directions à Bamako et plus haut, au niveau gouvernemental, pour trouver des solutions», a promis le ministre Alhamdou Ag Ilyène.
Invitant les travailleurs à plus d’abnégation, le chef du département de tutelle a pris l’engagement de travailler avec les directions à Bamako afin d’améliorer leurs conditions de travail, en vue de faire de la communication positive. «La guerre c’est à tous les niveaux, nous sommes agressés, nous sommes en légitime défense. Nous nous défendons d’abord par la communication parce que c’est qui permet au peuple d’être informé. Plus un peuple est informé, plus il est conscient et plus il se bat pour se libérer», a-t-il-dit. Il a encouragé les deux directrices à continuer à redoubler d’efforts. «Nous comptons sur ces deux amazones de la communication dans la région pour atteindre nos objectifs qui sont la distribution d’une information saine au peuple malien et à sa diaspora», a conclu le ministre.
Aminata Dindi SISSOKO / AMAP - Ségou
Les enseignants des écoles publiques du District de Bamako reprennent le travail dès ce lundi 20 octobre 2025 aux heures habituelles des cours..
En marge de la 3è édition des journées Ouest-africaines de l'audit interne, tenues à Bamako les 16 et 17 octobre, le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta a reçu, ce vendredi 17 octobre, une délégation de l’Association des contrôleurs, inspecteurs et auditeurs .
Certains rapports occidentaux tentent désespérément de faire croire que le Mali serait une « république en ruine », une «transition sans cap», un pays «sous tutelle russe» condamné à l’isolement. Ce récit, souvent répété, ignore la logique interne d’un processus souverain qui.
Lancé depuis le mois de septembre, par la Direction nationale de la pédagogie (DNP) avec l’appui technique et financier du Projet d’amélioration de la qualité et des résultats de l’éducation pour tous au Mali (Miqra), l’atelier d’élaboration et de validation des livrets pédagogique.
Dans le cadre des activités de la 30è édition du Mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion, le gouverneur de la Région de Mopti, le Général de brigade Daouda Dembélé a respecté la tradition en rendant visite, mercredi 15 octobre, aux deux personnes les plus âgées de la Co.
Suite à la recrudescence de l’insécurité dans la Région de Gao, des mesures strictes ont été prises concernant les activités illicites sur le site minier de N’tahaka, situé à une cinquantaine de kilomètres de la Commune urbaine de Gao..