
Cette campagne a pour objectif de libérer les pistes cyclables et les trottoirs, tout en sensibilisant les cyclistes et les piétons à cet effet
Le
directeur général de l’Anaser, Ousmane Maïga et le commandant du Groupement de
la sécurité routière (GSR), le commissaire-divisionnaire Panama Souleymane
Dembélé, ont pris part hier à cette vaste opération de contrôles routiers dans
le District de Bamako.
Cette
campagne a pour objectif de libérer les pistes cyclables et les trottoirs, tout
en sensibilisant les cyclistes et les piétons à utiliser les passages qui leur
sont dédiés. Selon Ousmane Maïga, le mois d’octobre est un mois de mobilité
dans les centres urbains au Mali, car il est consacré à l’ouverture solennelle
des classes.
En cette période, le non
respect des règles de la circulation provoque des tensions entre usagers et
occasionne des accidents de la circulation. En effet, au mépris des règles,
certains usagers se retrouvent sur des voies qui ne leur sont pas dédiées. «Des
conducteurs d’engins à 2 roues ne circulent pas sur les pistes cyclables
ou les bandes qui leur sont réservées», a fait remarquer le directeur général
de l’Anser.
Ainsi,
pendant cette campagne, des policiers sont déployés sur les tronçons pour
orienter notamment les utilisateurs de ces engins motorisés à 2 ou 3 roues.
Également, a ajouté Ousmane Maïga, la sensibilisation implique les personnels
qui s’occupent du domaine public routier afin de libérer les voies routières
occupées par les vendeurs. Les constructeurs sont aussi sommés de dégager les
pistes des agrégats de sable et de graviers.
«Il
s’agit de faire comprendre aux concitoyens, les conséquences néfastes d’un
certain nombre de pratiques, notamment l’occupation des parterres réservés aux
piétons et aux agents à 2 roues par les commerçants sédentaires et intrépides»,
a expliqué le commissaire-divisionnaire Panama Souleymane Dembélé. Et de faire
remarquer que le réseau routier, partant de la Tour de l’Afrique au virage
«Wara», est très bien fourni en panneaux de signalisation. «De long en large,
on voit bien des panneaux qui indiquent l’interdiction aux motocyclistes et aux
charrettes de monter sur le viaduc», a dit le patron du GSR, ajoutant que
«chacun doit être son policier et seul le respect strict du code de la route
peut nous garantir une sécurité routière».
Ousmane Maïga, usager et journaliste reporter à l’ANCD, a bien apprécié cette sensibilisation. Il a invité les usagers à respecter le code de la route en empruntant les voies appropriées, selon le moyen de déplacement utilisé. Quant à Lassi Maïga, il a exhorté les agents en charge de réguler la circulation à plus d’intégrité et ne pas se laisser corrompre par les usagers qui commettent des infractions.
Anta CISSÉ
Les enseignants des écoles publiques du District de Bamako reprennent le travail dès ce lundi 20 octobre 2025 aux heures habituelles des cours..
En marge de la 3è édition des journées Ouest-africaines de l'audit interne, tenues à Bamako les 16 et 17 octobre, le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta a reçu, ce vendredi 17 octobre, une délégation de l’Association des contrôleurs, inspecteurs et auditeurs .
Certains rapports occidentaux tentent désespérément de faire croire que le Mali serait une « république en ruine », une «transition sans cap», un pays «sous tutelle russe» condamné à l’isolement. Ce récit, souvent répété, ignore la logique interne d’un processus souverain qui.
Lancé depuis le mois de septembre, par la Direction nationale de la pédagogie (DNP) avec l’appui technique et financier du Projet d’amélioration de la qualité et des résultats de l’éducation pour tous au Mali (Miqra), l’atelier d’élaboration et de validation des livrets pédagogique.
Dans le cadre des activités de la 30è édition du Mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion, le gouverneur de la Région de Mopti, le Général de brigade Daouda Dembélé a respecté la tradition en rendant visite, mercredi 15 octobre, aux deux personnes les plus âgées de la Co.
Suite à la recrudescence de l’insécurité dans la Région de Gao, des mesures strictes ont été prises concernant les activités illicites sur le site minier de N’tahaka, situé à une cinquantaine de kilomètres de la Commune urbaine de Gao..