
Trois centres de dialyses seront opérationnels
très bientôt pour le plus grand bonheur des malades atteints d’insuffisance rénale.
Cela grâce à la volonté du président de la Transition, le colonel Assimi Goïta,
de faciliter l’accès aux soins de santé et de les rapprocher davantage des
malades.
Dans cette perspective, l’équipe des œuvres
sociales du chef de l’état, a effectué,
hier, une visite dans les centres de dialyses du Quartier Mali en Commune V, de
Lafiabougou en Commune IV et celui au Génie militaire.
Ces centres ultra modernes (du Quartier Mali
et du Génie militaire en R+1 et de Lafiabougou R+2) disposent chacun de 13 générateurs.
Tous sont aussi munis de deux salles d’attente, d’une grande salle d’hémodialyse
avec une salle de contrôle, une salle VIP, une salle de cathéter, une salle
d’urgence et des bureaux.
Il y a également une salle de traitement des eaux,
une salle de garde et des magasins, voire une cafétéria. La bonne nouvelle est
que pour tous ces centres, il y a une possibilité d’extension et les fauteuils
sont dotés d’un système d’oxygène. Ces centres permettront sans doute
d’absorber en partie le flux de malades, aussi de soulager les insuffisants rénaux
Selon le néphrologue des armées, le capitaine
Sah dit Baba Coulibaly, ces centres de dialyse vont constituer véritablement
une source médicale pour la prise en charge d’un grand nombre de personnes en période
de dialyse. Pour lui, les trois nouveaux centres de dialyse viennent à point
nommé surtout que notre pays était en manque.
Ils vont nous permettre à la fois de prendre en charge les éléments des Forces de défense
de sécurité et les civils. «Ce sont des centres qui sont presque prêts à démarrer
parce que les machines sont installées et on attend juste la décision de
commencer les activités», a-t-il indiqué. C’est du matériel de dernière génération
qu’on ne retrouve même pas dans les pays de la sous-région. «Ce sont des
machines flambant neuf et c’est une première dans notre pays. Chaque centre
dispose d’un néphrologue et avec des
infirmiers spécialisés en dialyse».
Son collègue de Lafiabougou, Dr Samba Konaté, ne dira pas le contraire. Pour lui, ces équipements soulageront fortement la population car la prise en charge de l’insuffisance rénale est difficile et compliquée. «En plus, nous disposions de peu de moyens pour une prise en charge effective», a-t-il témoigné. Pour le moment son centre va démarrer avec deux séances par jour (environ 14 à 22 malades). Mais il promet que le nombre augmentera sans tarder.
Fatoumata NAPHO
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