Cette rencontre fait
suite à une instruction du comité des membres de l’Association pour organiser
une journée nationale de jeûne et de prière pour la sécurité, la paix et la
stabilité du pays. La date
retenue pour cette journée est le 18 août prochain sur l’ensemble du
territoire. «Toutes les églises et missions évangéliques se mobiliseront pour
une journée nationale extraordinaire de jeûne et de prières», indique le
communiqué dont la rédaction a reçu une copie.
Le thème choisi pour cette
journée est : «Levons-nous, jeûnons et prions pour le Mali». Ce thème est
inspiré du livre de Néhémie, chapitre 2, verset 18. L’objectif de la journée
est : «D’un seul cœur, rechercher auprès du Seigneur, de l’aide pour
l’Armée malienne, les autorités, la sécurité, la paix et la stabilité du pays».
Après la
prière d’introduction, le président du département de la prière et de la
louange de l’Agempem, le révérend pasteur Thaddée Diarra a prononcé une
exhortation, appuyée sur les versets bibliques suivants : 2 Chroniques
6 : 34-35, 2 Chroniques 7 : 14 et 2 Chroniques 14 : 10.
Son message encourageait à persévérer dans la prière, surtout en ces temps de
la recherche de la paix, comme l’illustrent ces passages.
Le responsable
chrétien a ensuite fourni des détails sur le contexte de la réunion et de
la journée : «La situation qui prévaut dans le pays et dans le Sahel
nécessite une prière des saints de Dieu pour le retour de la paix et de la
cohésion». Pour le révérend pasteur Thaddée Diarra, cette situation requiert
également l’organisation d’une journée de jeûne et de prières qui se déroulera
dans les églises locales.
Bembablin DOUMBIA
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
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Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.
