Bintou
Falammousso Diallo, première nationale
avec 17,50/20 de moyenne
Son
camarade Abdel Nasser Diallo, élève en 12è année au lycée privé les «Castors»
se classe 2è national avec 17,18/20 de moyenne. L’élève en classe de12è année
au lycée les «Castors», Oumar Hassane Camara est arrivé 3è national au
Baccalauréat. Les trois lauréats qui sont tous de l’Académie de la rive droite
ont été reçus, vendredi dernier, par le ministre de l’Éducation nationale, Dr
Amadou Sy Savané, dans les locaux de son département après la proclamation des
résultats du Baccalauréat, sessoin de juin 2024.
C’était
en présence des autorités scolaires dont le directeur du Centre national des
examens et concours de l’éducation (Cnece), Mahamadou Kéïta, son collègue de
l’enseignement secondaire général, Inza Coulibaly, des responsables scolaires
de «Djinèssira Coulibaly», des Castors et des parents des lauréats.
Chacun des
cracks a reçu une attestation d’excellence des mains du ministre Sy Savané à
titre d’encouragement, de souvenir et à la grande satisfaction de leurs
parents. Les études, dira la championne, ne sont pas diaboliques. Il suffit de
s’accrocher à la lecture et à la culture générale, a soutenu Bintou Falammousso
Diallo. «Mon secret est la lecture. Je me suis accrochée à un livre de
physique-chimie.
Ce document s’appelle «Gado». C’est là où j’ai décroché ma
réussite et ma forte moyenne au Bac», explique Bintou Falammousso Diallo. Il
faut ajouter que la lauréate représente le Mali, cette semaine en Afrique du
Sud, au concours international des Olympiades (compétition scolaire sur les
matières scientifiques). Le ministre de l’Éducation nationale a déclaré que la
vie est une compétition, une sélection. Il faut se battre pour avancer et être
parmi les meilleurs.
«Nous devons célébrer l’excellence, les excellents», a insisté Dr Amadou Sy Savané qui a reconnu les efforts abattus par les lauréats et leur mérite pour avoir honoré l’école malienne. Il les a exhortés à continuer à travailler pour honorer davantage leur famille et le pays. La cérémonie a pris fin par une photo de famille.
Sidi WAGUE
Aujourd’hui dans cet ordre d’enseignement, on utilise des lecteurs d’écran pour permettre aux élèves non-voyants ou handicapés auditifs de communiquer avec les autres. Ce progrès est à saluer, mais de gros défis restent aussi à relever.
Communément appelée keratodermie palmo-plantaire, «seprin et boloprin» en langue «bamanankan», la pathologie est assez répandue pendant la saison froide avec le vent frais qui souffle. C’est surtout l’exposition des extrémités, c’est-à-dire la paume des mains ou la plante des pieds q.
Le Programme de développement de la zone spéciale de transformation agro-industrielle des Régions de Koulikoro et péri-urbaine de Bamako (PDZSTA-KB) a tenu, vendredi dernier, la 6è session de son comité de pilotage dans les locaux du ministère de l’Agriculture. L’ouverture des travaux ét.
Le major de la 47è promotion (2023-2025) de l’Ecole militaire interarmes (Emia) de Koulikoro s’appelle Idrissa Tiama de nationalité malienne. Il s’est classé premier avec une moyenne de 16 /20 devant ses camarades de différentes nationalités. Le fils de Diakaria et de Maïmouna Tiama est .
Les 343 officiers d’active de la 47è promotion de l’École militaire interarmes (Emia) de Koulikoro peuvent être fiers du parcours exemplaire de leur parrain au sein de l’Armée malienne. Feu Général de brigade Pangassy Sangaré, puisqu’il s’agit de lui, nait le 11 juin 1947 à Kati. I.
La promotion 2023-2025 compte 343 élèves officiers d’active dont 311 Maliens et 32 étrangers. Le major de la promotion est le Sous-lieutenant Idrissa Tiama du Mali avec une moyenne de 16/20.