Le Mali, à l’instar d’autres pays a, au cours de la dernière décennie fait face à d’importantes mutations technologiques qui ont accéléré les besoins de digitalisation. Selon le communiqué, ces transformations sont nécessaires pour s’adapter à un écosystème de plus en plus complexe, innovant et basé sur les solutions numériques. Malgré la disponibilité desdites solutions, un grand nombre d’opérations de paiement de l’État, des établissements publics nationaux, des Collectivités territoriales et de leurs établissements publics continuent de s’effectuer en espèce et par chèque.
Cette gestion manuelle des procédures administratives et de paiement induit des lenteurs, des risques d’erreurs dans les traitements, de corruption et de déperdition des deniers publics, entraînant des préjudices pour les organismes publics et les usagers des services publics.
Face à ces enjeux et dans le cadre de la modernisation de la gestion des finances publiques, la digitalisation des moyens de paiement est nécessaire pour la sécurisation des ressources de l’État et des autres organismes publics, la réduction de l’informel et le renforcement de l’inclusion financière.
En plus de contribuer à la promotion de la bancarisation, à l’utilisation accrue des nouveaux instruments et procédés de paiement, à l’inclusion financière et à la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, «le projet de décret adopté vise à compléter le cadre législatif et réglementaire existant».
Pour rappel, le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, en visite officielle dans la capitale du Kénédougou (Sikasso), avait annoncé la digitalisation imminente de toutes les structures publiques qui font rentrer l’argent à la caisse de l’État pour mettre fin à la corruption et rendre rapide l’accès aux services de l’État. En ce sens, les usagers des services publics payeront directement à la caisse de l’État sans intermédiaire.
Souleymane SIDIBE
A l'approche des fêtes de fin d'année le risque d'accident est très élevé. C'est dans cette dynamique que l'Agence nationale de la sécurité routière (Anaser) a initié, ce jeudi 18 décembre courant une visite de terrain, sur la sécurité routière. C'était en partenariat avec le Conse.
Les travaux de la session ordinaire d’octobre 2025 du Conseil national de Transition (CNT) se sont achevés, ce jeudi au CICB. Le président du CNT, le Général de corps d’armée Malick Diaw a, dans son discours de clôture, indiqué que cette session de 75 jours a permis à son institution dâ€.
Le directeur de cabinet du gouverneur de la Région de Ségou, Boureïma Angoïba a présidé hier mardi, dans la salle de conférence du gouvernorat, l’ouverture des travaux de l’atelier de formation et de sensibilisation sur les réformes politiques, institutionnelles, administratives et élec.
Par un geste fort de reconnaissance, l'État a rendu hommage à 150 personnalités et agents publics au service de la Nation. Le Décret n°2025-0769/PT-RM, signé le 13 novembre 2025 par le Président de la Transition, le Général d'armée Assimi Goïta, attribue à ces récipiendaires la Médaill.
Le Président du Conseil national de Transition (CNT), le Général de corps d’armée Malick Diaw a participé, du 12 au 14 décembre, à la 3è conférence des présidents d’assemblées législatives africaines à Rabat au Maroc. Le premier responsable de l’organe législatif et sa délégati.
Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le vendredi 12 décembre 2025, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Général d’Armée Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat..