
Le Mali, à l’instar d’autres pays a, au cours de la dernière décennie fait face à d’importantes mutations technologiques qui ont accéléré les besoins de digitalisation. Selon le communiqué, ces transformations sont nécessaires pour s’adapter à un écosystème de plus en plus complexe, innovant et basé sur les solutions numériques. Malgré la disponibilité desdites solutions, un grand nombre d’opérations de paiement de l’État, des établissements publics nationaux, des Collectivités territoriales et de leurs établissements publics continuent de s’effectuer en espèce et par chèque.
Cette gestion manuelle des procédures administratives et de paiement induit des lenteurs, des risques d’erreurs dans les traitements, de corruption et de déperdition des deniers publics, entraînant des préjudices pour les organismes publics et les usagers des services publics.
Face à ces enjeux et dans le cadre de la modernisation de la gestion des finances publiques, la digitalisation des moyens de paiement est nécessaire pour la sécurisation des ressources de l’État et des autres organismes publics, la réduction de l’informel et le renforcement de l’inclusion financière.
En plus de contribuer à la promotion de la bancarisation, à l’utilisation accrue des nouveaux instruments et procédés de paiement, à l’inclusion financière et à la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, «le projet de décret adopté vise à compléter le cadre législatif et réglementaire existant».
Pour rappel, le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, en visite officielle dans la capitale du Kénédougou (Sikasso), avait annoncé la digitalisation imminente de toutes les structures publiques qui font rentrer l’argent à la caisse de l’État pour mettre fin à la corruption et rendre rapide l’accès aux services de l’État. En ce sens, les usagers des services publics payeront directement à la caisse de l’État sans intermédiaire.
Souleymane SIDIBE
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