Photo de famille des formateurs, officiels et bénéficiaires, après la cérémonie d’ouverture de l’atelier
Cette session de formation, qui a été conjointement animée
par l’ancien directeur général de l’Office de radiodiffusion télévision du Mali
(ORTM), Salif Sanogo et le représentant du président de la Haute autorité de la
communication (Hac), Seydou Cissouma, s’est déroulée en deux jours de travaux
pratiques intenses sur les concepts en relation avec le journalisme en général
et sur la communication sensible aux conflits à travers une approche
participative.
Les 70 bénéficiaires ont été formés sur les concepts «journalisme
en période de conflits» et les textes régissant la profession au Mali ; les
principes de base, l’éthique et la déontologie, le code de conduite du
journalisme ; comment faire une bonne narration des événements sans enfreindre
les codes éthique et déontologique du métier ; comment assurer une bonne
couverture médiatique de l’actualité en période de conflits. Ils ont été également
mis en réseau pour partager des informations en vue de promouvoir la pratique
du journalisme sensible aux conflits.
L’ouverture des travaux a été présidée par le ministre de la Réconciliation, de la Paix et de la Cohésion nationale, chargé de l’Accord pour la paix et la réconciliation nationale, le colonel-major Ismaël Wagué. C’était en présence du représentant du ministre de la Communication, de l’Économie numérique et de la Modernisation de l’Administration, Mohamed Ag Albachar et de plusieurs personnalités de la presse malienne.
Faut-il souligner qu’être un journalisme sensible au
conflit, c’est être un journaliste qui milite en faveur de la paix.
L’expression du «journalisme sensible au conflit» est née de la volonté de
certains confrères de ne pas se contenter de couvrir les guerres et les autres
crises socio-politiques, mais aussi de contribuer à les prévenir.
Dans son discours d’ouverture, le ministre en charge de la Réconciliation,
de la Paix et de la Cohésion nationale a fait comprendre que le métier du
journalisme est au cœur du combat de chaque jour contre la violence, contre les
stéréotypes, contre l’uniformisation du monde, contre la manipulation des
hommes et des idées, un combat de chaque jour pour la liberté. «C’est grâce à
votre engagement, grâce à la présence des journalistes, des reporters et des
photographes sur les terrains les plus dangereux que nous mesurons à quel point
dans le monde actuel, l’image, la parole, la photo, le film, sont déclencheurs
de paix, de droit, de confrontations démocratiques», a fait remarquer le
colonel-major Ismaël Wagué. Et d’ajouter : «Ou au contraire, facteurs de
discordes, d’affrontements, de haine et de manipulations graves à travers les
fake news».
Dans un contexte où le Mali vit des moments importants de
son histoire, a rappelé le ministre Wagué, le pays a besoin de journalistes, de
blogueurs et d’animateurs bien formés et à cheval sur l’éthique et la déontologie.
Pour lui, l’originalité de cet atelier, c’est qu’il allie la théorie et la
pratique. Avant de déclarer qu’au-delà des dispositions législatives encadrant
la liberté de communication, la déontologie vise à rappeler les principes et règles
de conduite auxquels doit obéir l’activité de journaliste.
Le parole-parole des bénéficiaires, Moussa Konaté, a souhaité que de telles sessions soient répétitives en vue de renforcer davantage les capacités pour pouvoir relever les challenges qui s’imposent dans notre vie de tous les jours. Il a par la suite assuré que «nous pouvons travailler à la longue et former un réseau qui va nous permettre de pouvoir rehausser l’image de notre pays à travers l’Afrique et le monde». La cérémonie de clôture a été émaillée par la remise d’attestations aux participants et une photo de famille.
Souleymane SIDIBE
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