Le voisinage a été alerté par une fumée s’échappant d’un bâtiment du restaurant avant de voir le feu se propager après une détonation assourdissante.
Le sinistre serait parti, selon des témoins, d’une fuite de gaz dans la cuisine aux environs de 15 heures. « C’est un bruit d’explosion à la ronde qui nous a alerté », a expliqué un serveur. Même s’il n’y a pas eu de perte en vie humaine, on déplore trois blessés graves et des dégâts matériels considérables.
Selon le gérant, l’incendie est parti de la cuisine avant de se propager dans le bar détruisant tout sur son passage. « Tout est allé si vite. Le feu est parti de la cuisine pour s’attaquer au bar. Deux employés sur place ont été touchés par le feu avec des degrés de brûlure de 32 et 36% », a-t-il déclaré précisant qu’ils ont été évacués pour des soins.
Les sapeurs-pompiers dépêchés sur le lieu ont pu maîtriser le sinistre avant la tombée de la nuit après avoir circonscrit la propagation des flammes. L’origine du sinistre reste encore à identifier. Une enquête a été ouverte par la police pour en déterminer les causes.
Tamba CAMARA
Il escaladait nuitamment les murs d’enceinte des domiciles de ses victimes qu’il menaçait toujours avec une arme blanche. La chance a fini par l’abandonner.
À la suite d’une banale dispute entre deux amis du même groupe, l’un a mortellement poignardé l’autre avant de s’enfuir. Il a été interpellé et remis à la justice.
Ils l’ont poursuivi nuitamment jusqu’à son domicile et ont tiré sur lui à bout portant avant de s’évaporer dans la nature.
Les quatre présumés auteurs de l’affaire dite de viol collectif de la petite Tenin Keïta connaissent désormais leur sort. Les juges de la Cour d’assises de Bamako leur ont infligé mardi dernier, une peine de 10 ans de réclusion criminelle chacun. Le quartuor est composé de Gagny Coulibaly.
En milieu de semaine dernière, les juges avaient sous la main les dossiers de quatre coupeurs de route : Sékou Hamadoun Diagouraga, Amadou Barry, Moussa Barry et Bourama Bolly. Ce quatuor était inculpé pour des faits « d’association de malfaiteurs, vol qualifié, détention illégale d’arme.
Les maisons en chantier sont les sites préférés de certains ouvriers pour commettre des agressions sexuelles à l’endroit des filles surtout les vendeuses ambulantes..