Le projet de décret, adopté, vise à débaptiser des voies, places, édifices et établissements publics dans le District de Bamako et leur donner des noms de personnalités nationales. Il permettra à rendre hommage et à immortaliser des personnalités nationales afin qu'elles demeurent à jamais dans la mémoire collective des Maliens.
Mais aussi de faire connaître l'histoire, les grands hommes et les grandes institutions aux jeunes ; donner à la jeunesse des repères historiques, des références et des modèles inspirants. Il vise surtout à préserver le patrimoine culturel et assurer la représentation historique et donner un ancrage juridique à certaines dénominations déjà portées, de fait, par certains lieux publics.
L’adoption de ce projet de décret participe de la mise en œuvre des recommandations des Assises Nationales de la Refondation (ANR). Il y est précisé qu’au lendemain de l'indépendance, les Autorités de notre pays ont entrepris des actions de restauration et de réhabilitation de notre histoire et des figures qui se sont illustrés par leurs hauts faits.
Les autorités d’alors ont placé la politique culturelle sous le sceau du retour à l'identité nationale en décolonisant les esprits, en déboulonnant des monuments à l'effigie du colonisateur et en baptisant ou rebaptisant voies, places, édifices et établissements publics au nom des personnalités illustres du Mali et d'Afrique. « Malgré les efforts déployés, force est de constater que de nombreuses figures illustres sont tombées dans l'abîme du temps », regrette -t-on dans le texte.
Au regard du rôle essentiel des questions mémorielles dans la formation citoyenne et l’affirmation de la souveraineté nationale, selon le document, il est impérieux de désentraver notre histoire, de réhabiliter et valoriser les fils et filles qui ont le plus marqué la vie de notre pays par leurs hauts faits, leurs sciences, savoirs et savoir-faire.
Souleymane SIDIBE
De son vrai nom Abdrahmane Ben Esaayouti, le grand imam a tiré sa révérence ce mercredi 10 decembre 2025. Il a été accompagné à sa dernière demeure par une foule nombreuse de fidèles, d'amis et de parents..
Les autorités de la Transition ont décidé de combler au niveau de la Fonction publique d'État les insuffisances en termes de personnel de l'administration relevant du Code du travail..
Pour Abdoul Niang, il est évident pour tout le monde que ces deux médias publics ont marqué leur époque. L’ORTM est la principale source d’information audiovisuelle au Mali depuis plusieurs décennies. Quant à l’Essor, en tant que journal d’État, il est la référence écrite officiell.
Le VIH/Sida représente un réel problème de santé publique à l’échelle planétaire.
-.
Dans le cadre de l’opérationnalisation effective de l’Université publique de Gao, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Bouréma Kansaye a entamé, le week-end dernier, une visite dans la Cité des Askia qu’il bouclera aujourd’hui. Il est accompagnÃ.