
Dans la salle d’exposition polyvalente du Musée national, la grâce des clichés le dispute au travail d’orfèvre des scénographes capverdiens (Eloisa Ramos et Mme Moreno Castellano). Dans un décor sublimé avec du matériau local (l’argile rouge) sur inspiration d’un fond photographique d’une tête d’ampoule de cet art visuel dans notre pays (feu Malick Sidibé), le génie et l’esthétique s’expriment.
Certaines œuvres parlent aux visiteurs et expriment des rêveries, des idéaux, des aspirations et des récits de vie comme les tracasseries de voyage traduites dans les œuvres de l’artiste nigérien Ismaël Mahamoudou Laoulilla. D’autres sont plus expressives sur l’univers de la gent féminine (les atours féminins, les trousseaux de mariage) ou font basculer dans le monde de l’irrationnel avec des photos montages.
Mais admettons-le volontiers et sans désobliger, le langage de la grande majorité des œuvres accrochées est inaudible par manque de textes explicatifs des artistes eux-mêmes sur leurs prises. Une ombre au tableau. Mais qu’à cela ne tienne, les photographies exposées font parfois allègrement fit de l’académisme pour laisser place à l’inspiration, au naturel. Ces photographes ont souvent la formidable idée de laisser-parler leurs sensations pour lesquelles, il aurait été mieux de donner ne ce serait-ce que des bribes d’explications.
Le commissaire général des Rencontres de Bamako et son équipe curatoriale sont interpellés pour corriger cette maladresse. De nombreux artistes invités à la Biennale africaine de la photographie brillent par leur absence. Il ressort des informations partagées à la vitesse d’un feu de paille que ces créateurs d’œuvres photographiques, pour la plupart, n’auraient pas fait le voyager sur Bamako pour des contraintes de voyage.
Brehima DOUMBIA
À l’occasion du 38è anniversaire de l’assassinat du Président Thomas Isidore Noël Sankara, le chef de l’État burkinabè, le capitaine Ibrahim Traoré, a rendu un vibrant hommage au père de la Révolution d’août 1983.
L’ancien Premier ministre Soumana Sako a tiré sa révérence, ce mercredi 15 octobre 2025. Né en Nyamina en 1950, Soumana Sako a obtenu le Diplôme d’étude fondamentale (DEF) en juin 1967 et le Bac trois ans plus tard, en se classant dans les cas deux Premier national.
En plus d’être de ferventes agricultrices, les femmes de Siby sont aussi de véritables gardiennes de la nature. Elles assurent la protection de l’environnement avec leur savoir-faire.
C’est aujourd’hui qu’on célèbre la Journée internationale de la femme rurale. À cette occasion, nous sommes allés à la rencontre des braves femmes de Siby dont la principale activité est de travailler la terre pour garantir la sécurité alimentaire dans la communauté et assurer leur a.
Les travaux de construction du principal caniveau qui traverse la ville de Kangaba ont démarré le jeudi 9 octobre. Ils sont financés par le budget de la Commune rurale de Minidian pour un montant total de 47.496.416 Fcfa. Le premier coup de pelle a été donné par le maire de cette commune, Mamb.
Le 2è adjoint au préfet de Diéma, Attayoub Ould Mohamed, à la tête d’une délégation restreinte, comprenant le 2è adjoint au maire de la Commune rurale de Diéma, Nakounté Sissoko, le chef du service subrégional du commerce et de la concurrence, Mamby Kamissoko, et des éléments des Forc.