Au cours de cet atelier qui a débuté mardi, le président de la Maison de la presse, Bandiougou Danté, a fait une communication intitulée : «Quelle interaction entre les acteurs des médias». Il s’est largement étendu sur la question et appelé à définir les rôles et les responsabilités de chacun. Il a évoqué le contexte des mutations auxquelles l’environnement de la presse doit s’adapter, notamment la complémentarité entre les acteurs de la communication, l’amorce du virage du numérique et la guerre informationnelle.
Le président de la Maison de la presse a rappelé les efforts accomplis par les journalistes dans l’exercice de leur mission dans un contexte où il est souvent difficile de faire son travail, mais sans renoncer. Dans un style auquel, il s’identifie (le franc-parler), Bandiougou Danté a mis le doigt sur la plaie en évoquant globalement les difficultés de la presse malienne dans son ensemble.
Des discussions ont été engagées sur la communication du président de la Maison de la presse avant l’intervention du ministre chargé de la Communication. Celui-ci a expliqué clairement l’idée qui sous-tend l’organisation de cet atelier sur initiative personnelle. «J’ai constaté qu’il y a un malaise entre journalistes eux-mêmes et avec les acteurs des médias sociaux.
Face à cette situation, j’ai décidé de réunir les acteurs de la communication pour qu’ils proposent des solutions en vue de retrouver la cohésion au sein du monde de la communication», a succinctement expliqué le ministre Alhamdou Ag Ilyène. Pour lui, être un journaliste, c’est un art, une volonté. «Je souhaite un perfectionnement des rapports entre les médias sociaux et la presse conventionnelle.
Je demande à la Maison de la presse de travailler avec les acteurs sociaux, à les organiser, à les professionnaliser», a-t-il insisté. En termes clairs le ministre a délivré un discours dont la quintessence reste la cohésion au sein de la grande famille de la communication. L’atelier prend aujourd’hui.
Brehima DOUMBIA
Aujourd’hui dans cet ordre d’enseignement, on utilise des lecteurs d’écran pour permettre aux élèves non-voyants ou handicapés auditifs de communiquer avec les autres. Ce progrès est à saluer, mais de gros défis restent aussi à relever.
Communément appelée keratodermie palmo-plantaire, «seprin et boloprin» en langue «bamanankan», la pathologie est assez répandue pendant la saison froide avec le vent frais qui souffle. C’est surtout l’exposition des extrémités, c’est-à-dire la paume des mains ou la plante des pieds q.
Le Programme de développement de la zone spéciale de transformation agro-industrielle des Régions de Koulikoro et péri-urbaine de Bamako (PDZSTA-KB) a tenu, vendredi dernier, la 6è session de son comité de pilotage dans les locaux du ministère de l’Agriculture. L’ouverture des travaux ét.
Le major de la 47è promotion (2023-2025) de l’Ecole militaire interarmes (Emia) de Koulikoro s’appelle Idrissa Tiama de nationalité malienne. Il s’est classé premier avec une moyenne de 16 /20 devant ses camarades de différentes nationalités. Le fils de Diakaria et de Maïmouna Tiama est .
Les 343 officiers d’active de la 47è promotion de l’École militaire interarmes (Emia) de Koulikoro peuvent être fiers du parcours exemplaire de leur parrain au sein de l’Armée malienne. Feu Général de brigade Pangassy Sangaré, puisqu’il s’agit de lui, nait le 11 juin 1947 à Kati. I.
La promotion 2023-2025 compte 343 élèves officiers d’active dont 311 Maliens et 32 étrangers. Le major de la promotion est le Sous-lieutenant Idrissa Tiama du Mali avec une moyenne de 16/20.