Case-Sahel (Communauté agriculture santé éducation
au Sahel) est une organisation non gouvernementale nationale dont la mission
est d’agir pour donner une égalité de chance de participation à toutes les
couches sociales aux processus de développement. Actuellement présente dans le
District de Bamako, et dans les Régions de Ségou, de Kayes, de Koulikoro,
Case-Sahel a vocation d’agir sur toute l’étendue du territoire malien.
Ses
groupes cibles sont les femmes, les enfants, les jeunes et les communautés en
tant qu’entités. En vue de contribuer à restaurer la confiance et consolider la
paix, à travers un dialogue constructif et inclusif, Case-Sahel, en
collaboration avec le Fonds d’appui aux moteurs du changement (FAMOC), a
organisé du 8 au 9 février 2022 dans la Commune rurale de Macina, un atelier de
renforcement des capacités des conseils communaux, organisations communautaires
de base (OCB) et leaders communautaires intervenant dans les localités des
Communes rurales de Macina, Kokry Centre et Kolongo. La cérémonie d’ouverture était
présidée par le 2è adjoint au maire de Macina Dian Diallo en présence du chef
de projet Nabilaye Youssouf Koné.
Cette rencontre intervenait après l’organisation
des activités de sensibilisation et de formation de 50 membres des groupes
d’auto-défense sur le renforcement du dialogue et de la cohésion sociale.
Nabilaye Youssouf Koné a souligné que l’atelier s’inscrit dans le cadre du
Projet d’appui à la consolidation de la paix et à l’engagement civique des
jeunes dans la Commune rurale de Macina financé par l’ambassade du Danemark.
L’objectif est de contribuer au renforcement
des capacités des conseils communaux, des organisations communautaires de base
et des leaders communautaires sur les thématiques citoyennes dans la Commune
rurale de Macina.
De façon spécifique,
l’atelier vise à faire connaître les composantes et les symboles de la Nation,
les avantages de la démocratie, la connaissance des droits et les devoirs du
citoyen et la connaissance de la bonne gouvernance et ses avantages. Les deux jours de renforcement de capacité ont
permis au groupe cible de bien connaître les enjeux de la citoyenneté, la bonne
gouvernance et la gestion transparente.
Aminata Dindi SISSOKO / AMAP - Ségou
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.
