La triste nouvelle de son décès a été annoncée par son fils, Patrick O’Neal, sur les réseaux sociaux. Dans un message empreint d’émotion, ce dernier a partagé la douleur de perdre son père tout en évoquant sa nature généreuse et son sens de l’humour inégalable. «Mon père était aussi généreux qu’on puisse l’être», a confié le fils du défunt. Et d'ajouter : « Il aimait faire rire les gens (…) Peu importe la situation, s’il y avait une blague à faire, il la réussissait...». Toute chose qui témoigne de la personnalité attachante de Ryan O’Neal, tant sur les plateaux de tournage que dans sa vie personnelle.
Si la riche carrière de l'illustre disparu a été jalonnée de rôles mémorables, mais c'est notamment grâce à deux films emblématiques que son nom demeure gravé dans l’histoire du septième art. En 1970, il accède à la célébrité avec «Love Story», une romance touchante où il incarne un étudiant en droit d’Harvard épris d’une jeune fille interprétée par Ali MacGraw. Cette performance lui vaut une nomination aux prestigieux Oscars, propulsant ainsi sa notoriété au sommet. En 1975, il incarne un rôle majeur dans «Barry Lyndon», une œuvre cinématographique éblouissante explorant avec finesse les mœurs du XVIIIe siècle. Sa prestation remarquable dans ce long métrage contribue à consolider son statut d’acteur talentueux et polyvalent.
Au-delà de son talent indéniable devant la caméra, Ryan O’Neal restera dans les mémoires pour sa capacité à transmettre des émotions intenses à travers ses performances. Son charisme et son jeu d’acteur captivant ont marqué toute une époque du cinéma.
Sa disparition laisse un vide dans l’industrie cinématographique, mais son héritage perdurera à travers les générations, rappelant à tous l’empreinte indélébile laissée par cet acteur d’exception.
Souleymane SIDIBE
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