Cela afin de maintenir les activités de production, de distribution et de services au bénéfice de la population malienne. Cette déclaration a été faite lundi dernier au cours d’une rencontre organisée à cet effet au siège du CNPM.
«Le CNPM invite les acteurs économiques de notre pays à engager sans délai la réflexion sur le processus de transformation structurelle de notre économie basée sur la valorisation de nos matières premières, afin d’accroître substantiellement les capacités à répondre aux besoins de base de nos populations» indique le patronnat, ajoutant que ces sanctions infligées à notre pays déjà en proie à la recrudescence du terrorisme, aux conséquences de la maladie de la Covid-19 sur les activités économiques risquent d’impacter sévèrement le secteur privé malien.
Selon le CNPM, les chefs d’État ouest-africains n’ont certainement pas pris en compte la situation économique très difficile du Mali et la complexité de la crise multidimensionnelle à laquelle il est confronté depuis plus d’une décennie pour imposer ces sanctions. Toutefois, le CNPM encourage les autorités de la Cedeao et du Mali à maintenir le dialogue et à œuvrer à une solution rapide de sortie de crise.
Babba COULIBALY
En marge de leur rencontre, les ministres de l’Économie et des Finances de la Confédération des États du Sahel (AES) venus à Bamako pour les travaux de l'assemblée consultative de la Banque confédérale d'investissement et de développement (Bcid-AES) ont été reçus, hier dans l’après-.
À la date du lundi 8 décembre, au Grand marché de Bamako, le sac de 100 kg de mil est vendu à 20.000 Fcfa contre 22.500 Fcfa avant. Le sac de 100 kg de riz Gamiyaka, cédé auparavant à 45.000 Fcfa, se négocie désormais autour de 40.000 Fcfa.
Le gouverneur de la Région de Kita, Daouda Maïga, a présidé en début de semaine une session de vulgarisation de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption et de son plan d’actions 2023-2027..
Ces derniers mois ont été marqués par un changement de posture des groupes armés terroristes qui ont décidé de s’attaquer aux sources d’approvisionnement du pays en produits pétroliers dans le but d’asphyxier l’économie nationale et de révolter les populations contre les autorités..
C’est un communiqué du ministère de l’économie et des Finances qui l’annonce. Selon le département, à la date d’aujourd’hui, le niveau du stock de la dette intérieure est d’environ 439 milliards Fcfa.
La deuxième partie du projet de Loi de finances pour l’exercice 2026 a été votée, hier, à l’unanimité par les membres du CNT. Le texte a été défendu par le ministre de l’économie et des Finances, Alousséni Sanou.