Cette session qui se
déroulera du 13 au 24 mai, mettra l’accent sur les fondamentaux du
secteur postal
La cérémonie d’ouverture des travaux s’est déroulée dans
les locaux de l’AMRTP, sous la présidence de Yahiya Abdou qui représentait le
président de cette Autorité de régulation. C’était en présence du conseiller
technique au ministère de la Communication, de l’Économie numérique et de la
Modernisation de l’administration, Mamoutou Dabo.
Cette session, qui se déroulera
du 13 au 24 mai, mettra l’accent sur les fondamentaux du secteur postal, y
compris les meilleures pratiques en matière de traitement de courriers, des colis
et de gestion des services postaux et la sécurité des envois. En effet, dans
l’exécution de ses missions classiques, l’AMRTP a constaté, depuis des années,
un fort besoin de formation des différents acteurs (opérateurs publics et
privés, consommateurs, régulateurs).
Selon Yahiya Abdou, en tant qu’organe de
régulation, soucieux de la bonne animation du secteur, l’AMRTP veille à ce que
les acteurs disposent de compétences nécessaires pour affronter les réalités et
répondre aux défis de notre époque. Il a estimé que cette formation représente
une opportunité précieuse de sensibiliser les participants à des questions
importantes, telles que l’efficacité opérationnelle, la sécurité des données et
l’innovation.
Le chargé des postes à l’AMRTP a
rappelé que le renforcement des capacités est une recommandation issue des fora
et des journées mondiales des postes organisés par notre pays. De son avis,
cela démontre l’importance cruciale que notre gouvernement accorde à
l’amélioration des compétences dans le secteur postal. «La formation que nous
offrons aujourd’hui constitue un moyen efficace de résoudre certaines
préoccupations spécifiques auxquelles les acteurs postaux sont confrontés»,
a-t-il déclaré.
Avant d’annoncer qu’au cours des prochaines semaines et mois à
venir, l’AMRTP organisera deux autres sessions de formation dont la première,
qui se tiendra du 8 au 19 juillet, portera sur la «Réglementation postale». Et
la deuxième, qui se déroulera du 9 au 20 septembre, portera sur la
«Comptabilité analytique». «Ces sessions sont ouvertes à tous les acteurs du
secteur postal : consommateurs, opérateurs et régulateur», a-t-il précisé.
«Les stratégies postales
mondiales actuelles et celles en préparation, mettent la problématique de la
formation et du renforcement des capacités des acteurs postaux en bonne place
au nombre des piliers de développement de l’activité postale mondiale d’ici
2030», a fait savoir le représentant du président de l’AMRTP. D’après lui,
notre pays, membre du conseil d’administration de l’Union postale universelle
(UPU), ne saurait être en marge de ce défi et de ses enjeux majeurs.
Pour sa part, Mamoutou Dabo a salué cette initiative de l’AMRTP. Le conseiller technique a indiqué que le département élabore les textes pour la réglementation, «mais il faut que cette réglementation soit comprise par les différents acteurs surtout les operateurs».
Babba COULIBALY
Le Projet national du Programme africain de mini-réseaux permettra la mise en service directe d’au moins 309 kilowatts de puissance solaire photovoltaïque installée et 754 kilowattheures de capacité de stockage sur batteries. Il bénéficiera directement à plus de 8.000 personnes, dont 50% de.
La ministre des Transports et des Infrastructures, Mme Dembélé Madina Sissoko, accompagnée de sa collègue de la Santé et du développement social, le Colonel-major Assa Badiallo Touré, était hier à l’hôpital Gabriel Touré pour remettre un important lot de kits de premier secours et de m.
Pour 2026, il est attendu une croissance de 5,5% en rapport avec une reprise de la production aurifère et une amélioration progressive des conditions de sécurité. L’inflation, elle, devrait fléchir à 2,5%, largement conforme à la norme communautaire de 3%.
La 13è session du comité de pilotage du Fonds d’appui à l’automatisation de la femme et à l’épanouissement de l’enfant (Fafe) s’est tenu, hier à son siège..
Faisant partie de l’une des couches les plus vulnérables du pays, ces dames ont initié, entre elles, des activités d’échanges sur la santé de la reproduction pour favoriser un changement de comportement dans leur communauté.
En marge de la session de formation tenue du 24 au 25 novembre dernier, sur le «Journalisme de solutions», un module portant sur la désinformation et le fact-checking a été présenté. Face à des apprenants assidus et curieux, le journaliste Moussa Diarra est longuement revenu sur ces nouveaux.