En particulier, précise le communiqué, ceux ayant rejoint le Cadre stratégique permanent pour la paix, la sécurité et le développement (CSP-PSD). Il s'agit spécialement des ex-membres du Comité de suivi de l'Accord (CSA) et ses différentes sous-commissions ; du Comité technique de sécurité (CTS) ; des Équipes mobiles de vérification (Emov) ; du Mécanisme opérationnel de coordination (Moc) ; de la Commission nationale de Désarmement-Démobilisation-Réinsertion (CNDDR) et de la Commission nationale d'intégration (CNI).
Viennent s’ajouter le Conseil national à la réforme du secteur de la sécurité (CN-RSS) ; le Commissariat à la réforme du secteur de la sécurité (C-RSS) ainsi que les autorités intérimaires des régions du Nord et les conseillers spéciaux auprès des gouverneurs.
Le ministre chargé de la Réconciliation signale que les personnes concernées sont priées de restituer les véhicules en question aux services suivants : CSA et CTS à remettre au DFM du ministère de la Réconciliation, de la Paix et de la Cohésion nationale (MRPCN) ; Moc et Emov aux chefs militaires dans les zones concernées ; CNDDR et CNI aux agents comptables de ces mêmes structures ; CN-RSS au DAF de la Primature ; C-RSS au DFM du ministère de la Sécurité et de la Protection Civile ; autorités intérimaires et conseillers spéciaux aux gouverneurs de régions.
Le colonel-major Ismaël Wagué prévient que passé ce délai, les services compétents de l'État prendront les dispositions idoines en vue de récupérer lesdits véhicules avec les détenteurs.
Souleymane SIDIBE
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.