
La cérémonie
était présidée, vendredi dernier au Centre national de la documentation et
d’information sur la femme et l’enfant (Cndife), par la ministre de la
Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille, Mme Coulibaly Mariam
Maïga. C’était en présence de la présidente de la Cafo, Mme Sangaré Nana
Coulibaly.
D’entrée de jeu, la ministre Mariam Maïga a expliqué
que la feuille de route issue du séminaire de haut niveau, intitulé genre,
élections et réforme est aujourd’hui un document stratégique pour le
département en charge de la Promotion de la Femme. Ce document, en matière
d’élection, vient s’ajouter à un lot de documents qui existent déjà ou en cours
d’élaboration a souligné la ministre Maïga.
Depuis les Assises nationale de la
refondation, il y a une réforme au plan politique, administratif et
institutionnel qui a été mise en place. Et de là découle la Constitution du 22
juillet 2022. «Une Constitution qui consacre beaucoup de droits en faveur de la
protection et la promotion de la femme, c’est pourquoi mon ministère a voulu
prendre cette Constitution en plus d’autres instruments juridiques que nous
avons tels que la loi 052 qui fait la promotion du genre dans les fonctions
nominatives. On a cumulé ces deux documents avec d’autres afin que les femmes
puissent s’en approprier, qu’elles puissent surtout être sensibilisées sur
l’importance de leur participation à la gouvernance publique», a expliqué la
ministre en charge de la Promotion de la Femme.
Selon elle, l’objectif recherché aujourd’hui est
l’appropriation de cette Constitution et des instruments juridiques qui peuvent
favoriser une forte participation des femmes à la gouvernance publique et aux
prises de décisions.
Mme Coulibaly Mariam Maïga a déploré le fait que dans
notre pays les femmes ne sont pas suffisamment prêtes en période électorale.
C’est pourquoi, a-t-elle dit, nous avons décidé de commencer très tôt avec les
actions de sensibilisation et d’assurer le plaidoyer pour une forte
mobilisation et une forte participation des femmes aux élections futures. À en
croire la ministre Maïga, la finalité recherchée c’est de pouvoir compter dans
les fonctions nominatives et électives un grand nombre de femmes.
Pour sa part, la présidente de la Cafo a précisé que
cet atelier a été organisé pour que les femmes puissent s’approprier la Loi
052, la Loi électorale et la Constitution. Selon elle, pour que les femmes
puissent aller voter, il faut qu’elles comprennent ce qui se trouve dans la loi
et ce que la Constitution dit par rapport à la promotion de la femme. Cette
appropriation peut en faire des candidates potentielles, a espéré Mme Sangaré
Nana Coulibaly.
Nahawa SANGARÉ
Rédaction Lessor
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