
Alors qu’ils étaient perçus comme un couple emblématique de la scène musicale guinéenne, un récent message publié par Djeli Kaba Bintou sur les réseaux sociaux a semé le doute quant à l’état réel de leur mariage. Il y a quelques semaines, la chanteuse publiait un message troublant sur sa page Facebook. Dans ce post, lourd de sens et d’émotions, elle évoque des souffrances profondes au sein de son foyer qui s’apparenteraient à de violences domestiques.
« Je ressens que la situation est devenue insupportable. Aujourd'hui, il est temps pour moi de tirer un trait sur tout cela. Renaissance pour moi etait un nouveau départ dans la positivité mais j'ai l'impression que je ne savais pas que frapper à sang une femme et de manière répétée, est considéré comme normal. Pour ma part, je fais le choix de partir calmement et d'évoluer au rythme de la célébrité que je veux être. Je ne veux plus être impliquée dans cette souffrance et ce jugement complice. J'ai des frères, sœurs, une maman et des admirateurs qui comptent sur moi. Je ne peux pas rester piégée dans cette dynamique toxique. Je vous remercie de me laisser maintenant. Je suis partie. J'ai mûri et surtout j'ai compris que je dois apprendre à marcher seule. Je sais et j'assume que je suis une femme forte et je ne me laisserai plus faire », a-t-elle expliqué.
Bien qu’elle ne mentionne pas le nom de son mari, tout laisse penser que ses paroles visaient Azaya. Le message a rapidement fait le tour des réseaux sociaux, déclenchant une vague de réactions et de soutien, mais aussi de spéculations sur leur séparation. Face à la montée des spéculations, Azaya s’est finalement exprimé publiquement. Et c’est depuis notre pays (le Mali), lors d’une interview, que le chanteur a tenu à préciser qu’il est toujours marié, tout en appelant à la prudence face aux rumeurs.
« Je suis un homme marié. Je n’ai pas divorcé. Il y a des choses qui se disent sur la toile. Certaines sont vraies, d’autres ne le sont pas et certaines sont des accusations », a-t-il déclaré sans répondre de manière directe aux allégations de violences évoquées dans le message de son épouse.
F.KAMISSOKO
Rédaction Lessor
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