
Le présidium à l'ouverture de la rencontre
La 3è conférence de l’initiative s’est ténue, hier à l'Université Kurukanfuga (Faculté de droit public, ex-ENA) sous le thème : «Yeredon ni Fabadeya (le patriotisme), les fondements endogènes de la culture Mali kura». La cérémonie était présidée par le représentant du ministre chargé de l’Artisanat et de la Culture, Amadou Diabaté.
La conférence a également enregistré la présence du vice-doyen de la Faculté de droit public, Pr Moussa Mory Sangaré, des représentants du corps professoral et des étudiants. La conférence était animée par Mamady Keïta, professeur de N’ko et trois autres membres de l’académie de N’ko.
Selon le professeur Moussa Louis Sangaré, cette initiative permet aux étudiants de connaître les devoirs et le respect. Mais permet aussi aux jeunes de s’engager fermement à respecter les vertus de la société.
«Depuis plusieurs années, notre faculté est engagée a travers la création d’un département intitulé département d’études et de recherches en histoire du droit et des institutions», a rappelé le vice-doyen de la Faculté de droit public. C’est pourquoi, nous avons des programmes en ce sens. Et de dire que c’est un honneur d’appliquer cette conférence thématique sur le patriotisme.
Pour sa part, Amadou Diabaté a souligné que cette année a été décrétée Année de la culture par le Général d’armée Assimi Goïta, d’où la création de ce programme sous le leadership du ministre chargé de la Culture Mamou Daffé, pour sensibiliser la jeunesse sur nos valeurs. Il a indiqué que plusieurs conférences ont été organisées dans d’autres universités et dans les régions.
Ces conférences ont permis de parler des valeurs de la famille, de la femme et de l’enfant et d’éclairer la jeunesse sur le concept Faso Sifinso qui met en lumière le patriotisme. De son côté, Mamady Keïta a développé les lois, la différence entre l’Africain et l’Occidental par rapport aux valeurs. Le conférencier principal a soutenu que c’est l’Afrique qui a édité la première loi, mais elle n’a pas été comprise.
Il a attire l’attention de la jeunesse sur la déperdition de nos valeurs et de nos lois. Enfin, le professeur de N’ko a invité les jeunes à s’investir pour un Mali digne et patriote. Pour cela, il faut impérativement respecter les normes de la société et se plier aux exigences de la société africaine
Aïssata El Moctar TRAORÉ
Rédaction Lessor
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