Cet engagement a été pris, dimanche dernier dans la Cité des rails, par le président du Cadre de concertation régionale de la jeunesse de Kayes, Modibo Sissoko. C’était lors de la journée de vulgarisation et d’appropriation de la Charte de la Transition révisée. Une loi qui a été promulguée par le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta. La rencontre était animée par Badra Aliou Sangaré et Ousmane Bamia, sous la présidence du conseiller à la sécurité et à la protection civile du gouverneur de la Région de Kayes, le Lieutenant-colonel Adama Bamba.
À travers cette activité d’information et de sensibilisation, les organisateurs, appuyés par les conférenciers, entendaient aider les jeunes à mieux connaître cette charte afin qu’ils édifient, à leur tour, leurs communautés respectives. Rappelons que la Loi N°2025-029 du 8 juillet 2025 portant révision de la Charte de la Transition est le fruit de nombreuses rencontres et concertations à tous les niveaux (local, régional, national), dont les ANR (Assises nationales de la refondation de l’État).
Les conférenciers ont apporté des éclairages sur la prolongation de la Transition, le renouvellement du mandat du Président de la Transition, les élections ouvertes aux autorités de la Transition dont l’organisation est conditionnée au rétablissement de la sécurité dans notre pays. Ils ont mis l’accent sur l’article 25 de la Charte qui stipule qu’en cas de contrariété entre la Charte de la Transition et la Constitution du 22 Juillet 2023, les dispositions de la Constitution s’appliquent.
Pour le Lieutenant-colonel Adama Bamba, les jeunes leaders doivent multiplier les initiatives afin de permettre aux populations de s’approprier la nouvelle Charte de la Transition pour le devenir de notre pays. Pour sa part, Modibo Sissoko a déclaré : «Le Cadre de concertation régionale de la jeunesse ne baissera jamais les bras chaque fois qu’il s’agit de notre chère patrie : le Maliba. Nous les jeunes, nous jouerons pleinement notre partition de rôle d’avant-garde dans tous les combats mais aussi, dans tous les actes de développement de notre nation.»
Il a aussi fait allusion aux attaques terroristes survenues le 1er juillet à Kayes et dans d’autres localités de la région et invité ses camarades à plus de vigilance, mais aussi de solidarité envers les Forces de défenses et de sécurité. Celles-ci sont pleinement engagées dans le combat pour la sécurisation du pays. La cheffe des griottes de Kayes, Gambala Dramé, a plaidé pour la libération des artistes Babani Koné, Mariam Ba et Buinguiny Bakhaga, tout en demandant pardon aux autorités pour l’erreur commise par ces artistes, qui sont, pour la plupart, originaires de Kayes.
Bintou KOÏTA
Amap-Kayes
Rédaction Lessor
Les enseignants des écoles publiques du District de Bamako reprennent le travail dès ce lundi 20 octobre 2025 aux heures habituelles des cours..
En marge de la 3è édition des journées Ouest-africaines de l'audit interne, tenues à Bamako les 16 et 17 octobre, le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta a reçu, ce vendredi 17 octobre, une délégation de l’Association des contrôleurs, inspecteurs et auditeurs .
Certains rapports occidentaux tentent désespérément de faire croire que le Mali serait une « république en ruine », une «transition sans cap», un pays «sous tutelle russe» condamné à l’isolement. Ce récit, souvent répété, ignore la logique interne d’un processus souverain qui.
Lancé depuis le mois de septembre, par la Direction nationale de la pédagogie (DNP) avec l’appui technique et financier du Projet d’amélioration de la qualité et des résultats de l’éducation pour tous au Mali (Miqra), l’atelier d’élaboration et de validation des livrets pédagogique.
Dans le cadre des activités de la 30è édition du Mois de la solidarité et de la lutte contre l’exclusion, le gouverneur de la Région de Mopti, le Général de brigade Daouda Dembélé a respecté la tradition en rendant visite, mercredi 15 octobre, aux deux personnes les plus âgées de la Co.
Suite à la recrudescence de l’insécurité dans la Région de Gao, des mesures strictes ont été prises concernant les activités illicites sur le site minier de N’tahaka, situé à une cinquantaine de kilomètres de la Commune urbaine de Gao..
