Le bilan définitif est de 12 morts dont 11 femmes et 01 garçon de 02 ans.Les éléments de la protection civile, en accord avec le service local du Développement social et les bonnes volontés, après trois jours d’efforts, ont décidé d’arrêter les recherches.
Les services sociaux ont alerté sur des risques sanitaires, environnementaux, de contaminations du sol, de l’eau et de l’air, sur les lieux de l’éboulement.Pour éviter ces risques, ils ont recommandé de renforcer la surveillance épidémiologique dans la zone, de mettre en place un réseau d’alerte et de renforcer des activités de sensibilisation.
Les légitimités traditionnelles de Danga ont formulé des bénédictions et remercié les autorités de la Transition « dont l’appui a permis de faire des sacrifices pour les victimes. »Elles ont, également, prié « pour que de tels sinistres ne se produisent plus. »Pour sa part, le préfet du Cercle de Kangaba a, au nom des autorités nationales, invité les populations et les détenteurs de permis « à travailler dans la légalité en vue d’éviter de telles catastrophes.
SD/MD (AMAP)
Rédaction Lessor
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.