Mohamed Mahi Ouattara (g) et Abdoulaye Koïta
Cette convocation des deux religieux est la conséquence de leurs
sermons (khoutba) se rapportant aux fêtes chrétiennes, le Noël et le Réveillon.
Selon nos sources, en se prononçant sur ces fêtes dans leurs sermons, devant
des fidèles acquis à leur cause, les mis en cause auraient tenu des propos qui
sont de nature à semer les graines de la discorde et du rejet de l’autre,
mettant ainsi en cause la coexistence pacifique religieuse dans notre pays.
Les images des deux imams
pendant leurs khoutba ont fait le buzz
sur les réseaux sociaux. C’est la raison pour laquelle le procureur
anti-cybercriminalité s’est immédiatement auto saisi. Les intéressés ont été
ainsi convoqués à la Brigade d’investigation du Pôle national de lutte contre
la cybercriminalité pour une première audition, le lundi. Ils sont retournés à
la maison avant d’être de nouveau convoqués le jour suivant pour le même motif.
De nombreux fidèles se sont regroupés mardi devant les locaux de la brigade pour manifester leur soutien aux deux érudits. Ces derniers ont finalement regagné leurs domiciles respectifs. Peu de temps après, ils se sont réunis à la mosquée de l’imam Abdoulaye Koïta devant une foule de fidèles. Les deux imams ont expliqué que les juges qui ont procédé à leurs écoutes, leur ont simplement demandé de «cadrer leurs sermons», tout en rappelant que le Mali est une République laïque.
Tamba CAMARA
Ils écumaient plusieurs quartiers de la commune dans laquelle ils opéraient et terrorisaient les habitants. Ces derniers poussent désormais un ouf de soulagement.
Le procès de l'affaire libyenne s'est ouvert ce lundi 6 janvier à Paris. Il s’agit du dossier de financement illégal de la campagne présidentielle de 2007 par des fonds libyens impliquant l’ancien président Nicolas Sarkozy et autres.
Un enfant de 7 ans, qui avait disparu pendant cinq jours au Zimbabwe dans un parc national abritant de nombreux lions et autres animaux sauvages, a été retrouvé vivant après avoir parcouru une cinquantaine de kilomètres à pied dans ce parc.
Des clients sollicitent les compétences d’un ouvrier pour un service à la maison. Malheureusement, il y perdit son engin à deux roues dans des conditions rocambolesques.
Elle a garé et bien cadenassé son engin à deux roues devant son domicile. Peu de temps après, la moto a disparu sans que personne dans le voisinage ne sache comment.
Il avait l’habitude de cibler les commerçants boutiquiers de ce quartier. La multiplication de ses victimes et leur collaboration avec les policiers ont fini par avoir raison de lui.