Des panélistes de haut niveau ont fait des communications intéressantes pour les étudiants. L’École supérieure de
journalisme et des sciences de la communication (ESJSC) a tenu, hier dans
l’enceinte de l’École nationale d’administration (ENA), la toute première
édition de ses Journées scientifiques des sciences de l’information et de la communication
(JOSSIC) sous le thème : «Médias et géopolitique : quel rôle pour les
acteurs de l’information et de la communication en temps de crise et de
conflits ? ».
La cérémonie était présidée
par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr
Amadou Keïta, en présence de son collègue du département de la Communication,
de l’Économie numérique et de la Modernisation de l’administration, Me Harouna
Mamadou Toureh. On notait aussi la participation du directeur général de l’ESJSC,
Dr Aboubacar Adoulwahidou Maïga, et de la présidente de la commission
d’organisation de ces Journées scientifiques, Dr Fatoumata Fofana.
Les JOSSIC
visent à renforcer les échanges scientifiques entre les universitaires, les
professionnels des médias et de la communication, les décideurs publics et les
acteurs des organisations non gouvernementales africaines autour de thématiques
variées. En termes clairs, il s’agit de promouvoir la recherche en sciences de
l’information et de la communication dans notre pays.
L’idée est d’imprimer cet
espace d’échanges dans la durée afin de favoriser la réflexion sur des sujets
propres à nos réalités nationales et continentales en marge de la Journée
mondiale de la liberté de la presse. Ces Journées scientifiques offrent aussi
l’occasion aux enseignants-chercheurs et autres acteurs des médias de débattre
des problématiques d’info-communicationnelles et des questions pouvant
contribuer au développement de la formation et de la pratique du journalisme et
des métiers de la communication au Mali.
Le directeur de l’ESJSC a
expliqué que le cadre de réflexion de ces Journées offre l’opportunité
d’analyser et de repenser nos politiques d’information et de communication avec
pour but de les adapter à nos besoins spécifiques. à cet effet, dira-t-il, le
programme des JOSSIC semble révélateur des perspectives de recherches axées sur
nos réalités.
Le ministre en charge de l’Enseignement supérieur a rappelé que
la série de crises et de conflits comme la pandémie de la Covid-19, les crises
institutionnelles et sécuritaires dans le Sahel ou encore les guerres en
Ukraine et au Soudan, sont autant d’information dont le traitement pose avec
acuité la question du rôle des médias et des acteurs de l’information et de la
communication dans la gestion des crises et des conflits au XXIè siècle.
Et d’ajouter que prenant
conscience de cette réalité du monde, qu’il est nécessaire en tant que
dirigeants, chercheurs, futurs acteurs des médias, de prendre de la hauteur sur
chaque situation qui peut être présentée comme bonne ou mauvaise et faire notre
propre religion. Selon lui, il faut penser un nouveau moule de réflexion qui
part de notre vision du monde. Son collègue en charge de la Communication a
souligné que le thème de ces Journées scientifiques est plus que d’actualité.
Me Harouna Mamadou Toureh ajoutera que son département est le mieux placé
peut-être pour l’attester dans la mesure où «nous observons au quotidien
l’ampleur de l’utilisation des médias dans les rapports d’influence et de domination
entre États, surtout dans ce monde multipolaire, devenu de plus en plus
instable ».
La présidente du comité d’organisation des JOSSIC a exprimé sa profonde gratitude à tous les panelistes et participants pour la confiance placée en son établissement, en acceptant d’y soumettre leurs communications. Il faut souligner que ces différentes communications étaient vraiment intéressantes.
Amsatou Oumou TRAORE
Depuis 4 heures du matin, Chata Keïta emprunte le chemin de son périmètre maraîcher situé à Samanko, dans la Commune rurale du Mandé. Elle y reste jusqu’à 18 heures. Sur une surface de 0,25 hectare, la quinquagénaire cultive plusieurs plantes dont l’oignon, la laitue, le raisin et la me.
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