Cette mission de reconnaissance de la section « Kodo » des forces de défense appelée « Dambé » a été lancée mercredi dernier par le commandant du théâtre-est de l’opération « Mali », le colonel Famouké Camara.
Celui-ci a expliqué que l’objectif principal de cette mission de la section « Kodo » est de ratisser la zone à un rayon de 50 km et de sécuriser les couloirs des déplacés vers Tessit et d’autres localités. Cela, dit-il, permettra de renforcer les unités de forces de défense et de sécurité basées dans la commune rurale de Tessit et de rassurer les populations.
Selon le commandant Camara, en plus des opérations sur terre, un appui aérien d’un MI-35 ont été déployé dans la zone. « Pour une aide médicale des personnes, un second vol du MI- 35 à bord duquel se trouvaient des infirmiers et des médecins est opérationnel pour apporter des soins aux déplacés après l’attaque barbare perpétrée contre les six villages » a précisé l’officier supérieur.
Abdrahamane TOURE / AMAP - Gao
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.