C’était en présence des autorités administratives, des légitimités traditionnelles, des leaders religieux, des représentants des services techniques, des représentants des organisations de la société civile, des représentants des forces de défense et de sécurité…
L’objectif général de ce Dialogue inter-Maliens est de contribuer à la restauration de la paix, de la cohésion sociale et de la réconciliation nationale. Durant trois jours, les participants repartis en cinq groupes, vont plancher sur les thématiques : Paix, réconciliation nationale et cohésion sociale ; Questions politiques et institutionnelles ; Économie et développement durable ; Aspects Sécuritaires et défense du territoire et Géopolitique et environnement international.
Le 2è adjoint au maire de la Commune urbaine, Soumaïla Bocar Coulibaly, a souhaité la bienvenue aux participants avant de se réjouir de l’organisation de ce Dialogue qui est un cadre idéal pour parler sans ambiguïté des maux qui minent notre pays et de proposer des pistes de sortie de crise définitive.
Le préfet du cercle de Tenenkou a salué la forte mobilisation des participants, toute chose qui confirme l’intérêt qu’ils accordent aux préoccupations des populations. Pour Mamadou Dao, ces rencontres sont une opportunité inouïe pour nos concitoyens de discuter en terre malienne des problèmes de notre pays afin de trouver des pistes de sortie de crise définitive. Il a invité l’ensemble des participants à se mobiliser pour la réussite de ces concertations communales.
Les concertations ont également démarré dans les communes de Diondiori et Diafarabé, selon nos informations. Pour les communes de Diaka, Ouro Guiré, Ouro Ardo, Sougoulbé et Kareri, elle ont été délocalisées à Tenenkou, au niveau de l’école Tahirou Cissé II. Le préfet du cercle de Tenenkou, accompagné d’une forte de la délégation, s’est rendu là-bas pour s’assurer du bon déroulement des travaux.
Amap-Tenenkou
Rédaction Lessor
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.