M.T et KD sont des présumés braqueurs qui
viennent de tomber la semaine dernière, entre les mains des hommes du
commissaire principal Modibo Traoré dit « Van » à la tête du commissariat de
police de Torokorobougou. Les deux bandits dont il est question, ont
respectivement 19 et 23 ans tout au plus. En dépit de cette jeunesse relative,
il est avéré que ces deux individus étaient de véritables dangers publics qui
perturbaient sérieusement la tranquillité des habitants à travers des
actes de braquages à main armée et de
vols, souvent avec violence. Intrépides et imprévisibles durant les opérations
qu’ils menaient sur le terrain, ces deux malfrats ne reculaient pas face à un obstacle pour
avoir ce dont ils ont besoin, les engins à deux roues en première position.
S’il a été formellement établi qu’ils évoluaient
régulièrement à deux, les policiers n’excluent pas qu’ils soient également
membres d’un réseau de braqueurs très actifs dans le secteur de Daoudabougou et environs, un quartier
populaire de la Commune V du District de Bamako. Assainir les endroits criminogènes- Pour la sécurisation
de la ville de Bamako et ses environs, les limiers mènent régulièrement des
descentes inopinées dans les coins et recoins de la capitale. Histoire
d’assainir les endroits réputés criminogènes de la cité des Trois caïmans. C’était
le cas, la nuit du 10 au 11 novembre dernier
Cette nuit-là, vers 03 heures du
matin, pendant qu’ils patrouillaient dans des secteurs relevant de leur autorité
du point de vue sécuritaire, les policiers ont aperçu celui qui sera identifié
plus tard comme MT. Le jeune homme
conduisait une moto Djakarta neuve. Lorsqu’ils l’ont aperçu, l’attitude de ce
motard nocturne a tiqué les policiers patrouilleurs. Immédiatement, ces
derniers l’ont sommé de se mettre à leur disposition pour un contrôle poussé.
Au lieu de cela, le motocycliste a tenté de s’enfuir. Dès lors, il était devenu
un suspect sérieux pour les limiers.
Le fugitif n’ira pas loin. Il est rapidement
coincé, rattrapé, immobilisé et palpé sur place. Résultat : les
patrouilleurs ont trouvé sur lui un pistolet de fabrication artisanale. Ainsi,
la situation se compliqua pour lui. L’homme, est par la suite, conduit dans les
locaux du commissariat de police pour y être auditionné. Durant son interrogatoire, il a dénoncé son
compagnon et complice KD, qu’il a d’ailleurs désigné comme étant le cerveau de
toutes leurs opérations.
Quelques heures
plus tard, celui-ci a également été interpellé, conduit au commissariat puis
interrogé. Tout comme MT, lui aussi a avoué avoir pris part à de nombreux
braquages dans le quartier de Daoudabougou et alentours. Ainsi, les policiers
n’avaient plus de temps à perdre pour envoyer leurs dossiers chez les juges du
Tribunal de grande instance de la Commune V du District de Bamako. Depuis, ils
dorment entre les quatre murs du cachot.
Tamba CAMARA
Un faux policier, mais un vrai faussaire et un vrai escroc. C’est en somme le qualificatif approprié pour M.S.D, ce quadragénaire qui vient de se faire prendre dans les mailles des filets de la police, au terme d’intenses recherches discrètement menées à Bamako et dans d’autres localités.
Les deux malfrats avaient reussi leur coup. Mais sans le savoir, ils s’en étaient pris à une victime plus chanceuse qu’eux.
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Par leurs agissements malsains ils semaient la désolation et le désespoir au sein des populations. Grace aux policiers force est restée à la loi.