Le prix Pillar est décerné à des défenseurs éminents des droits civils et humains. Mais aussi des politiciens, des militants communautaires et des journalistes et des réalisateurs de documentaires. Parmi les lauréats précédents, figurent le représentant Elijah Cummings (D-MD), le sénateur Charles «Chuck» Grassley (R-IA) et la sénatrice Claire McCaskill (D-MO).
Ce grand rassemblement des lanceurs d’alerte est dédié aussi à la défense du premier amendement. Cet événement annuel associe projections de films et symposiums professionnels, créant ainsi un lien puissant entre lanceurs d’alerte, défenseurs, décideurs politiques, journalistes et cinéastes qui se réunissent pour présenter des reportages d’investigation novateurs mettant en lumière les questions de liberté d’expression, de droits civils et humains et de justice sociale.
«Le sommet de cette année représente un pèlerinage significatif en Arkansas où vit peut-être la plus grande lanceuse d’alerte américaine, Martha Mitchell», déclare Michael McCray, cofondateur et directeur général sur la note envoyée à la réalisatrice malienne. Et de poursuivre : «Notre démocratie est confrontée à des défis sans précédent, et nous avons plus que jamais besoin de personnes courageuses qui disent la vérité, comme elle.» Sortie en avril dernier à Bamako, le long-métrage documentaire «I Janto» ou prend garde en français, est un témoignage sur l’insécurité dans certaines régions de notre pays.
En effet, à travers sa camera qu’elle a baladée dans nombreuses villes et villages en proie à l’insécurité, Soussaba Cissé montre des situations inédites dont le commun de nos compatriotes ne pouvait soupçonner. Des témoignages crus et réels font froid dans le dos. Devant la camera, de nombreux intervenants estiment être abandonnés. Si la situation perdure, il n’y a pas de raison que d’autres localités du pays ne puissent pas être atteintes par cette insécurité.
Youssouf DOUMBIA
L’écrivain traditionnaliste, à travers son livre, intitulé : «Le Khasso traditionnel : coutumes et mœurs», lancé le 17 juillet dernier, met en lumière les repères culturels de cet espace linguistique dont il est le «Djeli», de par la bataille de Tumbifara. Dans cet ouvrage de 162 pa.
Le ministre de l’Artisanat, de la Culture, de l'Industrie hôtelière et du Tourisme, Mamou Daffé, a rencontré, lundi dernier dans ses propres installations, dans le cadre de l’Année de la culture, l’ambassadeur de la Palestine au Mali, Hassan Albalawi..
Depuis bientôt un mois, le maître chorégraphe, Karim Togola, assisté de deux professeurs de danse du Conservatoire des arts et métiers multimédia Balla Fasséké Kouyaté, Abdoulaye Koné et Dramane Sidibé, sont à pied d’œuvre pour la construction du ballet de la cérémonie d’ouverture.
Le directeur de cabinet du gouverneur de la Région de Ségou, Boureïma Ongoïba, a présidé, vendredi dernier, la cérémonie de lancement des activités commémoratives de la Journée de la jeunesse africaine, édition 2025..
Le parrain du mois dans le cadre de l’Année de la culture a expliqué clairement lors de la rencontre la nécessité de créer pour être visible dans le monde. Il a aussi invité les créateurs à s’inspirer de notre patrimoine musical, textile ou architectural pour bâtir des produits culture.
Si au départ le «Festival Rendez-vous chez nous» était concentré sur les masques et marionnettes, force est de constater que l’événement s’est beaucoup développé. De nos jours, il est devenu plus éclectique avec une programmation riche et variée, allant de la musique à la danse moder.