
Le chef du gouvernement avec le président de l’AMRTP Saidou Pona Sankaré
La première était
conduite par Ousmane Daou et la seconde par Saidou Pona Sankaré. Après leur
entrée en fonction, les deux personnalités ont jugé utile de procéder à la
présentation des nouveaux bureaux au chef du gouvernement.
L’assemblée
générale extraordinaire du 11 juin courant marque la mise en place d’un nouveau
bureau de l’Assep avec à sa tête Ousmane Daou. La faîtière de la presse écrite
au Mali place cette rencontre dans le cadre d’une prise de contact afin de
renouer le dialogue avec les autorités de la Transition.
C’est pourquoi à
l’entame de ses propos, le président a, au nom de ses confrères, transmis à Choguel Kokalla Maïga les
compliments de la presse privée pour les efforts louables déployés au
quotidien. Ousmane Daou n’a pas manqué de rappeler devant le Premier ministre
les propos réconfortants qu’il ne cesse de tenir à l’endroit de la presse.
«Cela traduit votre
prédisposition à faire ce que vous pouvez pour la presse», a-t-il relevé avant
d’aborder les préoccupations de la corporation qui sont, entre autres, l’octroi
d’une aide spéciale et la réorganisation du secteur à travers un nouveau texte.
Le
président du conseil de l’AMRTP qui a été nommé le 1er juin 2022, est venu prendre conseil auprès du Premier ministre en
tant qu’autorité et ancien dirigeant dudit service. Les conseils importants ont
été prodigués, notamment en termes de vision stratégique et d’importance de la
structure, a indiqué le tout nouveau patron de l’AMRTP.
«Il faut s’assurer de
veiller aux intérêts nationaux de l’état en termes de télécommunication», a dit
Saidou Pona Sankaré qui a ajouté que Choguel Kokalla Maïga a promis de donner
tout le conseil nécessaire en la matière lorsque le besoin se fera sentir.
Prenant
la parole à son tour, le Premier ministre a affirmé que son rôle est de
coordonner et orienter l’action gouvernementale. En clair, il fait des
arbitrages. Et lorsque dans un domaine ça ne marche pas, il lui appartient
d’échanger avec le ministre concerné pour savoir les raisons du blocage, a
expliqué le chef du gouvernement. Les entités doivent se référer à leur
département de tutelle pour soumettre leurs préoccupations.
Ainsi, en cas de
non-résolution des problèmes, rassure-t-il, la Primature intervient. Avant de
préciser que le dernier recours est le président de la Transition. Selon lui,
certains médias ont voulu faire croire que rien ne marchait en dehors de
l’armée. à ce niveau, il soutient que c’est normal que le gouvernement mette le
focus sur l’armée.
«La sécurité est la priorité des priorités», a-t-il martelé.
Dans un contexte de transparence et de gestion de l’aide allouée à la
profession, il a réitéré la disponibilité des autorités de la Transition à
travailler avec la presse.
Namory KOUYATÉ
Rédaction Lessor
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