
Selon le Dr Youssouf Karambé, socio-anthropologue et enseignant-chercheur à l’Institut national de la jeunesse et des sports (INJS), cette réticence s’explique par l’implication fréquente d’enseignants et d’administrateurs, parfois complices ou acteurs de ces abus. «Ce silence protège les responsables, mais empêche une prise en charge efficace», déplore-t-il. Le harcèlement touche princi...