
Cette récompense
est décernée par une agence de communication ivoirienne dénommée : «Sion Média
Group». Ce prix est attribué chaque année à un
journaliste culturel qui se distingue à travers ses articles et publications
sur les événements culturels. Il vise à faire des émules, mais aussi à reconnaître
le talent des journalistes culturels chevronnés. La remise de ce prix s’est déroulée
le 11 novembre dans la capitale ivoirienne en présence de plusieurs hommes de
culture, ainsi que des responsables d’institutions culturelles.
Selon les initiateurs de l’événement, Sion Média
Group s’inscrit dans une dynamique de récompense du talent des journalistes
d’Afrique dans le domaine des arts et de la culture. Il s’agit de faire aussi
la promotion des hommes et femmes qui œuvrent pour la promotion des arts et de
la culture à travers leurs publications, notamment des articles de presse.
Cette récompense est un prix d’honneur offert
par Sion Média Group suite à une sélection rigoureuse par un comité composé de
professionnels du secteur des arts et de la culture. Le lauréat a tenu à
remercier les responsables de Sion Média Group pour l’intérêt qu’ils accordent à
son travail, avant d’inviter la jeune génération de journalistes à faire un
travail de qualité et d’originalité. «Je dédié ce prix à l’Agence malienne de
presse et de publicité (Amap)», a déclaré Youssouf Doumbia.
Grand passionné d’art, il a embrassé le
journalisme depuis son jeune âge, avant de se «spécialiser» dans le traitement
des questions liées aux arts et à la culture dans les années 1994 auprès des aînés
de la Rédaction.
Ce prix est tout simplement une distinction
supplémentaire pour Youssouf est-on tenté de dire tant le journaliste culturel
ne cesse de cumuler les récompenses et les attestations de reconnaissance pour
son immense contribution à la promotion des arts et de la culture à travers les
colonnes de L’Essor. Il est lauréat du Tamani d’or (2003), du prix de meilleur
journaliste culturel du Soroké d’or (2011), mais aussi de celui de meilleur
journaliste culturel de la presse écrite et du prix Kandjoura Coulibaly pour
l’impact de son travail dans la promotion de la culture du Mali en 2015.
Le journaliste est membre fondateur de plusieurs associations et a été très souvent retenu dans le jury de plusieurs événements culturels d’envergure nationale et internationale comme la Biennale artistique et culturelle du Mali à titre d’exemple.
Amadou SOW
La symbolique de dénomination des voies, places et établissements publics du nom des grandes figures de notre pays a trouvé grâce aux yeux de nos compatriotes parce que c’est pour immortaliser ces figures historiques (héros et autres légendes)..
Dans le dynamisme de l’appropriation de l’hymne de la Confédération des États du Sahel (AES) après son lancement au Palais de Koulouba, la semaine passée par le Président de la Transition et Président en exercice de la Confédération, le Général d’armée Assimi Goïta, le Centre nat.
Placées sous le haut patronage du Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta, les journées d’hommage consacrées à l’ex-icône du cinéma africain, Souleymane Cissé, se sont déroulées du 13 au 14 juin dernier à Bamako..
Ce régime qui couvre les assurés volontaires du monde de la culture offre aussi l’opportunité de souscrire à l’Assurance maladie obligatoire (AMO) pour une prise en charge du risque maladie. L’Assurance volontaire pour la culture (Avoc) est aussi un moyen de prendre en charge les angoisses.
Le Projet Mali Ko, en français «Le Mali dit…» a été officiellement lancé, vendredi dernier dans la salle des spectacles du Complexe culturel BlonBa à Baco Djicoroni..
Dans le cadre de la célébration de la Journée internationale des musées (JIM), le Conseil international des musée (Icom-Mali) a organisé hier une conférence-débat à la Faculté d’histoire et de géographie sur le thème : «L’avenir des musées au sein des communautés en constante é.