
Le taux global de réalisation des indicateurs est de 52%
Le projet de
budget 2023, visé par le contrôleur financier et soumis à l’appréciation pour
adoption, est équilibré en recettes et en dépenses à la somme de 328,54
millions de Fcfa. Ce montant est constitué par la subvention de l’État pour un
montant de 183,502 millions de Fcfa, soit 55,85% et les ressources propres de
l’Agence estimées à 145,043 millions de Fcfa, soit 44,15%.
Selon le ministre
Moussa Alassane Diallo, l’exercice 2022 s’est déroulé dans un contexte
difficile pour l’Amanorm à l’image des trois derniers exercices budgétaires.
«Il a été principalement marqué par les répercussions négatives liées aux
contextes sécuritaire et socioéconomique que connait notre pays, ainsi que les
impacts de la gestion budgétaire de l’État», a-t-il développé. Avant de
signaler que nonobstant ces difficultés, le taux global de réalisation des
indicateurs, estimé à 52%, peut être amélioré de même que les niveaux
d’exécution des activités programmées.
Le ministre a
souligné que l’Amanorm a déployé d’importants efforts pour réaliser de
nombreuses activités non initialement prévues dans son programme annuel
d’activités, grâce aux économies réalisées sur les ressources propres générées
ainsi qu’avec l’appui de ses partenaires techniques et financiers. «Au titre
des ressources publiques, les arbitrages opérés ont sérieusement impacté le
niveau d’exécution des activités opérationnelles de l’Agence, précisément
celles qui lui permettent de réaliser ses attributions régaliennes de
normalisation, de certification, de promotion de l’accréditation et de la
qualité.
Au titre de la mobilisation de ses ressources propres, le contexte de
conjoncture économique que traverse notre pays depuis quelques années a été une
contrainte majeure pour de nombreuses entreprises cibles de l’Agence qui n’ont
pas pu requérir ses services et signer des contrats de prestation de services»,
a fait savoir Moussa Alassane Diallo.
Le ministre Diallo a
aussi estimé que ces situations ont impacté de manière négative le taux global
d’exécution du Programme annuel d’activités 2022 de l’Agence. «Je souhaite que
vos propositions prennent en charge les difficultés majeures qui constituent un
handicap pour le développement de l’infrastructure nationale de la qualité,
notamment dans les segments relatifs à la normalisation, l’accréditation, la
certification et la promotion de la qualité», a-t-il exhorté.
Avant de noter
que les orientations définies, ainsi que les ressources qui seront mobilisées,
vont améliorer de manière significative la contribution de l’Amanorm à
l’amélioration de la compétitivité des entreprises nationales. Il faut rappeler
que l’Agence malienne de normalisation et de promotion de la qualité est un
organisme national dont la mission est d’assurer la mise en œuvre de la
Politique nationale en matière de normalisation et de promotion de la qualité.
Elle est chargée, entre autres, de responsabiliser, de coordonner les actions
de développement de l’infrastructure nationale de la qualité (INQ) et d’en
assurer le suivi et l’évaluation.
Anta CISSÉ
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