Photo de famille des officiels et des participants après la
cérémonie d’ouverture
Objectif : outiller les journalistes et professionnels des
médias de connaissances et compétences nécessaires pour informer et rendre
compte de façon efficace en période de crise. La
cérémonie d’ouverture des travaux a été présidée par le chef de cabinet du
ministre de la Communication, de l’Économie numérique et de la Modernisation de
l’Administration, Mohamed Ag Abbachar, en présence de la représentante de
l’Unicef au Mali, Mme Andrea Berther et du représentant de la Haute autorité de
la communication (Hac), Béchir Diop.
L’information
peut avoir un impact positif ou négatif sur les individus et les communautés de
manière générale. Il est dès lors impératif que les «journalistes soient
équipés d’outils et de formation nécessaire pour naviguer dans les complexités
de reportage de crise de manière éthique et efficace», a expliqué la
représentante de l’Unicef. Mme Andrea Berther a indiqué que la mobilisation est
aujourd’hui un devoir, car l’accès à l’information constitue un droit pour
chaque citoyen.
«Ensemble, contribuons à bâtir un monde meilleur pour tous et
particulièrement pour tous les enfants du Mali», s’est-elle adressée aux
professionnels des médias, estimant que ceux-ci détiennent la clé pour libérer
ce potentiel. «Bien que ce pouvoir s’accompagne toujours de grandes
responsabilités, leur travail a le pouvoir de changer des vies, d’élever les
communautés et de créer un monde meilleur», a ajouté la représente de l’Unicef.
Et d’exhorter les hommes de médias d’accepter cette responsabilité avec
humilité et courage, sachant qu’ils ne sont pas les seuls dans cette dynamique.
Le
représentant du département en charge de la Communication a, pour sa part,
expliqué que les participants à cet atelier aborderont des sujets comme la
communication de crise, le journalisme sensible au genre, l’impact de la crise
sur les enfants et la communauté. Aussi, sera-t-il question de l’éthique et de
la déontologie, de la gestion des conflits et des risques et opportunités des
réseaux sociaux.
Ainsi, Mohamed Ag Abbachar a demandé aux participants de
suivre avec beaucoup d’attention les différents modules dont l’importance n’est
plus à révéler, surtout en cette période où la contribution des médias est très
importante pour la réconciliation nationale et la stabilité de notre pays. Une
période où les fausses informations prennent le pas sur la communication
réelle, pour des buts non avoués tendant à créer la confusion dans notre pays
qui vit une crise multidimensionnelle depuis plus d’une décennie.
Aminata DJIBO
Rédaction Lessor
Dans un communiqué publié ce mardi, le ministère de l’Industrie et du Commerce a annoncé le report à une date ultérieure du Forum de l’investissement de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) en Afrique, initialement prévu du 2 au 4 décembre à Bamako..
Sur la base de renseignements judicieusement exploités, les éléments de la brigade de recherches du Commissariat de police du 2ème arrondissement de Ségou dirigé par le commissaire divisionnaire Yaya Coulibaly ont interpellé le dimanche 30 Novembre, 3 individus transportant un camion-remorque.
Le 36è anniversaire de la Journée internationale des droits de l’enfant a été célébré, jeudi dernier dans la salle de conférence du gouvernorat de Gao sous le thème national : «Planification et budgétisation sensibles aux droits de l’enfant»..
Face à la cabale médiatique orchestrée par les médias français pour déstabiliser notre pays, plusieurs Maliens ont exprimé leur indignation à la télévision nationale. Les forces vives de Sikasso ne sont pas restées en marge. Sur le sujet, notre équipe de reportage a fait un micro-trottoi.
Un atelier de sensibilisation sur les missions du Centre de conciliation, d’arbitrage et de médiation du Mali (Cecam Mali) s’est tenu, jeudi dernier, à la Chambre de commerce et d’industrie du Mali (CCIM)..
Le gouverneur de la Région de Ségou, le Commissaire général de brigade de Police Souleymane Traoré, a procédé, le vendredi 28 novembre, au lancement officiel des opérations de Désarmement, Démobilisation, Réinsertion et Intégration (DDRI) dans la Zone de Défense N°2..
