Les juniors maliens (en blanc) sont les grands favoris de la compétition
Le
coup d’envoi du Tournoi international de l’amitié U18 Filles et Garçons a été
donné dimanche 24 mars au Palais des sports Salamatou Maïga. La cérémonie
d’ouverture était présidée par le ministre de la Jeunesse et des Sports, chargé
de l’Instruction civique et de la Construction citoyenne, Abdoul Kassim Ibrahim
Fomba, en présence du président de la commission d’organisation du tournoi,
Amadou Diarra Yalcouyé et du président de la Fédération malienne de basket-ball
(FMBB), Me Jean Claude Sidibé.
Dans
son allocution d’ouverture, le ministre en charge de la Jeunesse et des Sports
a salué l’organisation de la compétition dont l’objectif principal,
indiquera-t-il, est d’intensifier la préparation des sélections nationales U18
Filles et Garçons dans la perspective des échéances futures, singulièrement
l’Afrobasket U18 2024.
«Le
basket-ball est l’une de nos disciplines phares qui nous ramène régulièrement
des trophées. Le monde du basket-ball national mérite ce tournoi», a dit le
ministre Fomba, ajoutant que la compétition servira le cadre d’échanges
d’expérience entre les équipes participantes, tout en leur permettant
d’améliorer leurs performances dans les compétitions internationales.
Au
total, quatre pays participent à la compétition : le Mali, la Tunisie, la
Guinée et le Sénégal. Sur le tableau féminin, le tournoi met aux prises les
sélections du Mali et de la Tunisie qui ont été complétées par les U17 du Mali
et les équipes du Stade malien et du Djoliba.
La
sélection nationale masculine a déjà effectué deux sorties pour autant de
succès, face respectivement à la Guinée (97-64) et la Tunisie (79-69). Grâce à
ces deux victoires, les joueurs du technicien Moussa Cissé ont pratiquement
assuré leur qualification pour le deuxième tour et s’affirment comme l’un des
prétendants au sacre. «Je félicite les jeunes qui sont bien entrés dans la
compétition. Ce tournoi devrait nous permettre de construire une équipe
compétitive avant l’Afrobasket.
L’équipe
a montré des choses intéressantes lors de ses premiers matches. Non seulement
les jeunes ont respecté les consignes, mais ils ont également fait preuve
d’engagement et de combativité sur le plancher», a salué le technicien malien
après le match contre la Tunisie. Selon Moussa Cissé, si l’équipe continue sur
la même lancée, elle devrait logiquement aller jusqu’au bout, c’est-à-dire,
remporter le tournoi.
Sur le tableau féminin, la sélection nationale a également effectué deux sorties. Lors de la première journée, elle a battu la Tunisie (72-54) avant de chuter face au Stade malien (57-70) lors de la deuxième journée. Quant à l’équipe nationale U17 Filles, elle a perdu sa première rencontre contre les U18 de la Tunisie (68-66). La compétition se poursuivra jusqu’au 1er avril.
Boubacar THIERO
Message.
Une fois n'est pas coutume, c’est sur la terre du pays organisateur de la CAN 2025 que la sélection nationale a reçu le Drapeau national ce jeudi soir. La cérémonie solennelle s’est déroulée à l’hôtel Barcelo Anfa de Casablanca..
Le Mali s'apprête à participer à la CAN au Maroc et la mobilisation autour des Aigles bat son plein. Au cœur de ce dispositif, une figure emblématique : Mme Haïdara Aïchata Cissé dite Chato, membre du Conseil national de Transition (CNT) et marraine de la Commission nationale d'organisation .
La sélection nationale aborde sa 14è CAN avec un statut d’outsider, mais les hommes du sélectionneur national Tom Saintfiet sont déterminés à écrire l’histoire au Maroc, avec comme, dépasser au moins les quarts de finale.
Le Maroc sera, à partir de ce dimanche 21 décembre, la pôle d’attraction de la planète foot du continent africain, voire du monde, avec la 35è édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) qui mettra aux prises 24 nations..
La phase finale de la CAN, Maroc 2025 se déroulera sans plusieurs habitués du tournoi. En effet, à l’issue des éliminatoires, des nations majeures, dont six figurent parmi les régulières, sont passées à la trappe et ne participeront à cette 35è édition de la CAN..
